Where The Lights Hang Low

Passenger

Transposer:

[Intro] [Verse 1] There’s a place I go Where the lights hang low The walls are stale from a thousand Marlborough lights And the carpet tells a tale of a thousand Friday nights [Verse 2] There’s a man outside Big black holes for eyes Biting down on burnt out cigars Plays forgotten songs on broken guitars [Chorus] There’s a place I go Where the lights hang low [Interlude] [Verse 3] There’s a place I’ve found On the edge of town Where all the girls dress in angelic white But age is so unkind under florescent lights [Verse 4] And there’s a man by the door Neatly stitched to the floor He’s sat there for a thousand years And he’ll sit there for a thousand more [Chorus] There’s a place I go Where the lights hang low Oh there’s a place I go Where the lights hang low [Outro]

Du même artiste :

empty heart empty heart Am7, C, G, Fmaj7, G5, F, Dm
empty heart empty heart C, Em, Fmaj7, Gadd11, Am, G
empty heart empty heart C, Em, F, G7, G, Dm, E, Am
empty heart empty heart Em, G, D, C
empty heart empty heart G, C, Em, D
empty heart empty heart C, Am, F, G
empty heart empty heart G, C, Em, D, Am
empty heart empty heart Em, D, C, G
empty heart empty heart D, Em, G, Bm, A
La chanson évoque un lieu particulier, un refuge, où l'atmosphère est empreinte de nostalgie. C'est un endroit familier, avec des lumières tamisées et des murs qui portent les marques de nuits passées, un espace où l'on se rappelle des moments de fête. On croise également des personnages intrigants, comme un homme aux yeux sombres, qui joue des mélodies oubliées sur une guitare abîmée, ajoutant une touche mélancolique à ce lieu. Le texte décrit également une ambiance presque surréaliste, où le passage du temps semble figé, comme en témoigne un homme immobile à la porte, Ancrant encore plus l'idée de ce refuge intemporel. Ce décor contrasté entre la jeunesse des filles en blanc et la dureté des lumières fluorescentes souligne les luttes de la vie et la façon dont le temps peut nous changer.