Promenade sur Mars

Offenbach

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Je vous espionne de ma fenêtre Promeneuse qui avez un chien Vous progresser Et l'air autour de vous construit des cercles Entre lesquels mon regard se heurte Sans pouvoir y trouver la porte Je vous espionne de ma fenêtre Promeneuse qui avez un chien Vous et le chien Vivez sans doute sur une autre planète Où l'homme que je suis quoiqu'il en pense n'a pas accès ni de près ni de loin Où l'homme que je suis quoiqu'il en pense n'a pas accès ni de près ni de loin Où l'homme que je suis quoiqu'il en pense n'a pas accès ni de près ni de loin...          

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empty heart empty heart Am, C, D, F, Dm, E7, G, Em
empty heart empty heart E7, A7, B7, C, D7, A
empty heart empty heart G, C, D
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empty heart empty heart G, C, A, D, F, E, D#
empty heart empty heart E, E7, A, B, B7, a
La chanson dépeint le regard d'un homme qui observe une femme promenant son chien depuis sa fenêtre. Il ressent un mélange de fascination et d'impuissance, percevant une distance entre eux qui le rend invisible et exclu de sa réalité. Il s'imagine qu'ils vivent sur des planètes différentes, où il ne peut pas accéder au monde qui tourne autour d’elle, renforçant ainsi son sentiment de solitude et d'isolement. Le contexte peut évoquer une mélancolie et un désir de connexion, alors que l'obsession de l'homme pour cette passante souligne une quête d’amour ou de compréhension dans un monde qui lui semble inaccessible. On ressent dans ces vers une envie d'évasion, de communion, mais aussi une profonde tristesse face à la séparation entre leurs univers.