La maudite machine

Octobre

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Intro :               J'ai vu à matin un vieux robineux, m'a tendu la main pour une cenne ou deux C'pas drôle dans la    rue Quand il faut dormir dans les fonds d'ruelles, ca peut pas être pire rien dans l'fond d'l'écuelle. Peux-tu  t'en sor - tir ? Si tous les pognés dans leur p'tite misère se disaient : Calvaire !. Y'est temps d'arrêter Ca i - rait  p't'être mieux. Un coup d'pied dans l'cul ca peut réveiller, quand personne sait pus pourquoi travailler C'est donc toujours plate [Refrain :] J'ai l'goût de m'en aller que'que part, j'voudrais sacrer l'camp Plus ca va plus ca d'vient mort, c'tait plus beau avant… J'aimerais ca être bien chez moi, sans qu'on m'mange le dos        Laisse-moi donc tranquille a soir, brailler comme il faut…   T'as perdu ta job, tu sais pus où t'mettre, t'as pus l'air ben sobre, trois tavernes de faites Comment va  ta  vie ? Dépèche-toé bonhomme sors vite de ta crasse, prouve donc que t'es un homme pis trouve       toi une place. T'as plus tellement d'temps… Mais y'a rien à faire les patrons te veulent pus, tu vaux pus ben cher, t'es tout nu dans ‘rue. T'es un gars  fi - ni ! La maudite machine qui t'as avalé, à marche en câline, faudrait la casser Faudrait la  cas - ser. [Refrain] la la la  la la la la la  la la la la la  la la la la la la...

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empty heart empty heart G, A, B, Bb, C, D, Eb, E, F, F#4, E4
Cette chanson évoque la détresse d'un homme confronté à la pauvreté et aux difficultés de la vie urbaine. Il décrit des scènes de misère, où l'on se sent perdu et abandonné, surtout lorsqu'on n'a plus de travail et qu'on doit se débrouiller seul. Le protagoniste exprime un profond ras-le-bol face à cette existence morose et souhaite s'échapper de cette réalité pesante. Le contexte de la chanson met en lumière les luttes des plus démunis dans une société qui tourne à plein régime, déshumanisée par la machine du travail. Le protagoniste ressent une profonde frustration face à l'indifférence des autres et à la difficulté de sortir de ce cycle de souffrance. Ces réflexions soulignent une quête d'évasion et de retrouvailles avec un chez-soi idéal, loin des tracas quotidiens.