Les oiseaux, le ciel et la terre

Nyamen

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Intro : (8x) Le regard perdu dans les étoiles Cherchant au loin des idées peu banales Le chant des oiseaux au petit matin Me rappelle à l'ordre et ça m'fait du bien En tendant les mains vers le ciel On se rend compte que la vie est belle Ce sentiment de persécution Disparaît lorsque je retrouve ma raison (bis) Mais il y a les oiseaux, le ciel et la terre, oué Un petit coin de paradis imaginaire Même si les vents soufflent sur nos têtes Nous sommes les invités de cette planète La dissipation de tous ces nuages Nous montrera à quel point les hommes sont sages Et si la vie nous donne son secret Elle ne pardonnera pas ce qu'on lui a fait Si la route nous paraît si longue C'est que l'homme recule à chaque seconde Chacun apporte ses solutions Qui pousse tout être à la déraison (bis) [Refrain] (ad lib)

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Am, G, C, F, A
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Bbm, Fm, F#, G#
La chanson évoque un profond besoin de connexion avec la nature et de paix intérieure. À travers l'image des oiseaux et du ciel, elle rappelle que, malgré les défis de la vie quotidienne, il existe des choses belles et simples qui nous rechargent et nous aident à retrouver notre équilibre. On y parle aussi de la sagesse humaine face aux incertitudes et aux troubles que nous vivons, en soulignant l'importance de redécouvrir notre raison d'être. Dans ce contexte, l'artiste invite à prendre du recul, à apprécier notre environnement et à comprendre que nous sommes simplement des invités sur cette planète, appelés à vivre en harmonie avec elle. Cela nous pousse à réfléchir sur notre rôle et nos actions, tout en cherchant la sérénité au milieu des tumultes.