Immortels

Noé Preszow

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|| | | | Je ne t'ai jamais dit Mais nous sommes immortels Pourquoi es-tu partie ? Avant que je te l'apprenne Le savais tu déjà ? Avais-tu deviné ? Que des dieux se cachaient Sous nos fastes avinés           Tous les baisers reçus Savais-tu qu'ils duraient Qu'en se mordant la bouche Le goût en revenait Et qu'il y avait du sang Qui ne sècherait pas Tu me donnais la main Pour boire de ce sang là         Je ne t'ai jamais dit Mais nous sommes immortels Immortels, immortels.        As-tu pensé parfois Que rien ne finirait Et qu'on soit là ou pas Quand même on y serait Et toi qui n'est plus là C'est comme si tu étais Plus immortel que moi Mais je te suis de près         Je ne t'ai jamais dit Mais nous sommes immortels Immortels, immortels.        ||   |  |    | ||

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empty heart empty heart Dbm, E, B, F#m, A
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empty heart empty heart C, Am, G, F
empty heart empty heart Am, Em, G, F, C, Dm, E
empty heart empty heart C#m, E, B, F#m, A
empty heart empty heart C, Em, Am, G, F
empty heart empty heart Am, F, Dm, Em, E, C, G
empty heart empty heart Am, G, F, Em
Dans cette chanson, l'artiste évoque une connexion profonde entre deux êtres, marquée par une forme d'immortalité qui transcende le temps. Il partage une réflexion sur l'amour, où des gestes simples comme un baiser semblent capables de créer un lien éternel. La présence de l'autre persiste, même en son absence, suggérant que l'amour peut rendre les souvenirs et les émotions indélébiles. Le contexte semble être une mélancolie face à la séparation, où l'auteur regrette de ne pas avoir eu la chance de partager cette vérité cruciale sur leur immortalité émotionnelle avant que l'autre ne parte. Cela soulève des questions sur l'importance des moments partagés et sur la manière dont l'amour perdure, même au-delà des départs.