I Hate Myself and I Want to Die

Nirvana

Transposer:

    Runny nose and runny yolk     Even if you have a cold still     You can cough on me again     I still haven't had my fulfill     Broken heart and broken bones     Think of how a castrated horse feels     One more quirky cliche'd phrase     You're the one I wanna refill   In the someday what's that sound? (x4) Most people don't realize That two large pieces of coral Painted brown, and attached to his skull With common wood screws can make a child look like a deer

Du même artiste :

empty heart empty heart A5, C5, E5, G5, A, C, E, G, C#5, F5
empty heart empty heart A, C, G, E, B, F#, A5, C5, G5, B5, F#5, E5
empty heart empty heart G#m, E5, Eb5, G#5, Db5, C5, Bb
empty heart empty heart D, C, B, A, G, F, E
empty heart empty heart F#, E, B, Db, G
empty heart empty heart G#, G, C, F, B
empty heart empty heart D5, F#5, F5, E5, G5, Bb5, D, F, E, Eb, Eb5, F#, C, B
empty heart empty heart E6, F#5, F#, D, E
La chanson exprime des sentiments de désespoir et de malaise, évoquant des images de souffrance tant physique qu'émotionnelle. On percevrait un mélange de sarcasme et d'angoisse, avec des références à des douleurs intérieures tout en jouant sur des métaphores décalées. L’artiste semble lutter avec des frustrations et des déceptions, en cherchant à comprendre ou à exprimer cette souffrance d'une manière qui pourrait sembler ludique, mais qui résulte en réalité d’une profonde détresse. Dans un contexte plus large, cette œuvre peut être liée à l'angoisse existentielle des jeunes des années 90, une période marquée par des bouleversements sociaux et un sentiment d'aliénation. Les images dépeintes, bien que sombres, ouvrent la voie à une réflexion sur la vulnérabilité humaine, la quête d'identité, et les luttes personnelles que beaucoup traversent.