Toi qui regardes la mer

Nicoletta

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Toi qui regardes la mer tu es seul avec tes souvenirs Et malgré tout ce bleu, tout ce vert, tu es triste à mourir Mais, quand tu fermes les yeux, un refrain qui te parle en argot Fait valser tes jours heureux  avec l'odeur du métro   Chacun s'évade à sa façon,    chacun son rêve, Papillon    (+1/2 ton:) Toi qui regardes la mer, tu ne vois même plus l'horizon Tu regardes vingt ans en arrière et c'est loin et c'est bon Paris existe toujours et, quand vient le printemps, on peut voir Les voyous flâner autour  des marronniers des boulevards Les yeux fixés  sur un jupon,    tu te souviens, Papillon     (+1/2 ton:) Toi qui regarde le ciel, tu n'es plus qu'un pauvre homme écrasé, Ecrasé par le poids du soleil, par le poids du passé Mais, quand le soir tu t'endors, en pensée tu retournes là-bas Te voilà dans ton décor  ton p'tit hôtel ton tabac    La liberté  avait du bon;    tu te souviens, Papillon ...

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Cette chanson évoque la solitude d'une personne qui contempler la mer, perdue dans ses souvenirs. Malgré la beauté des paysages, une tristesse profonde l’habite, rappelant un passé révolu. En fermant les yeux, des mélodies familières évoquent des jours plus heureux, ancrés à Paris et aux flâneries de la vie urbaine. Elle parle aussi du poids du temps et des souvenirs, évoquant le sentiment d’être écrasé par les regrets. Cependant, dans ses rêveries nocturnes, il retrouve son ancien décor, un petit hôtel et un tabac, où la liberté lui semblait douce. Ce contraste entre nostalgie et espoir est au cœur de cette réflexion sur le passage du temps et la quête de sens.