La mandarine

Nicole Rieu

Transposer:

Une mandarine deux ou trois pommes  Deux tasses sur la table sept heures qui sonnent. Du pain grillé du thé qui fume  On laisse les rideaux fermés il y a trop de brume. Trop de brume. On ne parle pas pour ne pas rompre la nuit. On respire encore l’odeur des corps endormis. On s’assoit par habitude devant nos tasses. Voilà comment chaque jour le matin se passe.  Et le temps passe.   (Instrumental):  Des peaux de mandarine un trognon de pomme  Des miettes sur la table la nappe chiffonne.  Des peaux de mandarine un trognon de pomme  Quand huit heures est passé il n’y a plus personne  Et je m’envole. La la la... La la la... La la la... La la la... La la la... La la la... La la la... La la la... La la la... La la la... La la la...

Du même artiste :

empty heart empty heart

Journal

D, D2, D4, A, Bm, B2, G, E, A4, F#m
empty heart empty heart

Elle respire

Am, E, E7, A4, F, Dm, E4
empty heart empty heart

Quand l'homme n'est pas là

E, Am, B, E7, Am/G, F, Dm, G7, C, D, G
empty heart empty heart

Toute ma vie...

Gmaj7, Em7, Am7, D11, A7, G, D/F#, G/D, F#m7, B7, Cmaj7, Bm7, B, F#, Bmaj7, A9, D
empty heart empty heart

Si les oiseaux pouvaient parler

Am, Dm, E, F, A, D, F#m, C#m
empty heart empty heart

Je sais que ça va m'arriver

C, Dm, Dm7, G7, Cmaj7, E7, Am, Am/G, Dm7/F, Fmaj7, B7, E, Em, Gm, A7, F, Bb
empty heart empty heart

Le chemin de la liberté

A4, A, C, G, Am, Em, F, Dm, B7, E, E7
empty heart empty heart

La goutte d'eau

Gm7, Am7, Dm, Dm7, Gm9, C, F, Gm, Bb, Dm/F, C7, Bbmaj7, A4, A, D
empty heart empty heart

Le rêve de mai

Am, E4, E, Dm7, G7, Em, A7, E7, Dm, Fm, F7, Bbm, F4, F, Ebm7, Ab7, Bb7, Ebm, F#m, F#7, Bm, F#4, F#, Em7, B7
empty heart empty heart

Ils sont partis de la ville

Bm, F#m, G, Cmaj7, /G, /F#, Em, F#, D7, B7, /A, Bm/G
La chanson évoque une routine matinale intime et silencieuse, où deux personnes partagent un moment de calme autour d'une table, entourées de petites choses simples comme des fruits et du thé. La brume extérieure crée une atmosphère de mélancolie, rendant leurs échanges muets mais empreints de complicité. Au fur et à mesure que le temps passe, les bruits de la ville se font entendre et la réalité s'impose, laissant derrière elle le souvenir d'un instant fragile et éphémère. Ce tableau quotidien d'une vie intime nous plonge dans un univers où les gestes ordinaires deviennent poétiques, rappelant que chaque matin est une petite histoire à part entière, nourrie par des détails qui passent souvent inaperçus.