Rio, Rio

Nicolas Peyrac

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Rio,  Rio, Rio, Rio   Tu ressembles à Rio   Tu as le sang si chaud   Que tu m'as mis la fièvre sous la peau Rio,  Rio, Rio, Rio   Je vais mourir bientôt   Dévoré par les flammes   Qui brûlent pendant ton carnaval Toutes les maîtresses, toutes les femmes Toutes les amantes que j'ai eues Toutes les princesses, toutes les dames Celles que l'on montrait du doigt dans la rue Toutes les fidèles, les infidèles Les sincères, les intéressées Tu peux me croire aucune d'entre elles Ne t'avait jamais ressemblé mais, Rio,  Rio, Rio, Rio   Tu ressembles à Rio   Tu as le sang si chaud   Que tu m'as mis la fièvre sous la peau Rio,  Rio, Rio, Rio   Je vais mourir bientôt   Dévoré par les flammes   Qui brûlent pendant ton carnaval Toutes les folies qu'elles m'ont fait faire Me laissaient froid comme l'ennui Et plus elles s'entouraient de mystère Plus je m'en lassais après quelques nuits Mais toi tu m'enroules et tu m'emportes Je ne sais plus comment je vis Il va pourtant falloir que j'en sorte Sinon je vais perdre la vie mais Rio,  Rio, Rio, Rio   Tu ressembles à Rio   Tu as le sang si chaud   Que tu m'as mis la fièvre sous la peau Rio,  Rio, Rio, Rio   Je vais mourir bientôt   Dévoré par les flammes   Qui brûlent pendant ton carnaval

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La chanson évoque une passion dévorante et irrésistible, comparant l'objet de cette affection à la ville de Rio, symbole de chaleur et d'intensité. L'artiste parle d'une attirance si forte qu'elle semble le consumer, le laissant au bord de la folie et du danger. Malgré ses expériences passées avec d'autres femmes, aucune ne lui avait jamais donné cette sensation brûlante, cette fièvre qui lui prend tout le corps. Le contexte de cette chanson se situe durant un carnaval, période festive où tout est amplifié, et où les émotions sont à leur paroxysme. Les références à la vie nocturne, aux passions éphémères et aux mystères de l'amour créent une atmosphère vibrante, révélant la dualité entre l'euphorie et la dangerosité de cette forme d’amour.