Quelque part en Barbarie

Nicolas Peyrac

Transposer:

(mesures à 2 temps: 1 temps | 1 temps)   Et la main est retombée      comme une colombe blessée   Dans cet hiver de néant où ne fleurit que du sang Dans cet hiver de folie, quelque part en Barbarie   Et la main est retombée      comme un arbre crucifié   Qui s'agripperait au vent pour emprisonner le temps Pour emprisonner la vie, quelque part en Barbarie   Si tu voulais, si je voulais, on aurait moins de larmes à verser Tu dis demain, je dis demain, regarde donc la couleur de nos mains !   Et la main est retombée      sur la poitrine figée   Quelques nuages trop bas vont et viennent, qui saura Que la vie s'arrête ici quelque part en Barbarie?   Et la main s'est refermée      sur un chiffon de papier   L'enveloppe d'une lettre qui s'habillait de peut-être Quand elle lui avait écrit quelque part en Barbarie   Si tu voulais, si je voulais, on aurait moins de larmes à verser Tu dis demain, je dis demain, regarde donc la couleur de nos mains !   Si tu voulais, si je voulais, on aurait moins de larmes à verser Tu dis demain, je dis demain, mais quelle sera la couleur    de demain !    

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La chanson évoque un paysage désolé empreint de souffrance et de désespoir, où une main symbolique tombe, blessée et sans force, faisant écho à une vie troublée par la violence et la folie. Au milieu de cet hiver froid et stérile, l’image d’un arbre crucifié rappelle des luttes intérieures et un sentiment d’emprisonnement dans le temps. Les paroles questionnent la possibilité d'une rédemption, suggérant qu'un simple changement d'intention pourrait réduire la douleur et offrir un avenir moins sombre. Le contexte semble faire référence à des réalités difficiles, que ce soit des conflits, des tragédies humaines, ou des épreuves personnelles. À travers des métaphores puissantes, l’artiste nous confronte à la fragilité de l’existence et à l’espoir, parfois inatteignable, d’un monde meilleur. Dans cette lutte entre le présent et l’avenir, la couleur des mains devient une représentation de notre destin collectif.