Ne jouez plus God save the queen (Il pleut sur Londres)

Nicolas Peyrac

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Mesures à 2 temps 1 temps | 1 temps Intro :         Ne jouez plus « God save the Queen »! Il pleut sur Londres   Les STONES enregistrent à Paris Il pleut sur Londres   Bryan JONES est mort Mc CARTNEY    s'endort Chez Linda    Ne jouez plus « God save the Queen »! Il pleut sur Londres C'est, tous les jours, helzapoppin Il pleut sur Londres    On meurt à Dublin Entre loups et chiens   Pour l' I.R.A   Nous nous aimions en ce temps-là Souvenez-vous !   On se foutait pas mal du brouillard Il faisait bon dans nos mémoires C'était bien   Et on se disait presque « vous » On n'osait pas    On n'osait pas aller jusqu'au bout De cette tendresse infinie C'était bien   Ne jouez plus « God save the Queen »! Il pleut sur Londres   Les STONES enregistrent à Paris Il pleut sur Londres   Bryan JONES est mort Mc CARTNEY    s'endort Chez Linda    On achetait des pull-overs À Carnaby       Et ça frimait pas mal au lycée Quand on disait : « Ca, c'est anglais ; C'est marqué »    Et on attendait les vacances Pour se revoir     J'étais le petit ami de France Celui qui croyait à l'amour Avec vous.   Ne jouez plus « God save the Queen »! Il pleut sur Londres C'est, tous les jours, helzapoppin Il pleut sur Londres    On meurt à Dublin Entre loups et chiens   Pour l' I.R.A   Je n'sais plus s'il fait aussi beau Sur Abbey road   Les scarabées ont changé de peau Pour émigrer à Hollywood Y'a longtemps   Vous avez sans doute épousé Un lord anglais    Qui vous dit: « Milady, je vous aime Comme vous parlez bien le français ! Mieux que moi »   Ne jouez plus « God save the Queen »! Il pleut sur Londres   Les STONES enregistrent à Paris Il pleut sur Londres   Bryan JONES est mort Mc CARTNEY    s'endort Chez Linda    Ne jouez plus « God save the Queen »! Il pleut sur Londres C'est, tous les jours, helzapoppin Il pleut sur Londres    On meurt à Dublin Entre loups et chiens   Pour l' I.R.A                  (Ad libitum) F#m7(b5) (xx4505) A(add9) (x0x300)

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La chanson évoque la mélancolie d'une époque révolue, marquée par des souvenirs d'amour et de camaraderie, tout en se remémorant un Londres pluvieux et nostalgique. Elle fait référence au décès de célébrités du monde de la musique, tout en abordant des sujets plus sombres comme la violence en Irlande. Le refrain, qui appelle à ne plus mettre à l'honneur l'hymne britannique, souligne l'absence de joie et l'ironie d'une époque où les rêves et les aspirations semblaient plus accessibles. À travers les évocations de moments simples et tendres, il se dessine un tableau de la jeunesse perdue, toujours sur fond d'un Londres mélancolique.