La soustraction

Nicolas Peyrac

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(Mesures à 2 temps) 1 temps | 1 temps Intro :        || Elle a bien reçu ta lettre En a pleuré deux jours Elle comprend pas les « peut-être » A un faible pour « toujours » N'accepte pas les défaites Les allers sans retour       Nous trois moins une reste deux Qu'est-ce qu'on était heureux Avant la soustraction Nous deux plus une ferait trois J'préfère les additions    Nous trois moins une reste peu J'savais pas bien compter Avant la soustraction Pas bien vu  retenue À la ligne       Elle a demandé cent fois Si on s'aimait toujours J'ai dit : «  L'amour ne meurt pas Quand c'est le grand amour ». Et, toi et moi, c'était ça Ou j'ai raté un tour       Nous trois moins une reste deux Qu'est-ce qu'on était heureux Avant la soustraction Nous deux plus une ferait trois J'préfère les additions    Nous trois moins une reste peu J'savais pas bien compter Avant la soustraction Pas bien vu  retenue À la ligne Le banal      du banal Le mélo          sans le drame Fin des princesses La belle au bois se rendort   Nous trois moins une reste deux Qu'est-ce qu'on était heureux Avant la soustraction Nous deux plus une ferait trois J'préfère les additions    Nous trois moins une reste peu J'savais pas bien compter Avant la soustraction Pas bien vu  retenue À la ligne       À la ligne                

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Cette chanson évoque la tristesse d'une séparation amoureuse et les souvenirs d'un bonheur passé. Le protagoniste reflète sur la douleur de l'absence et l'incompréhension face aux sentiments qui changent avec le temps. À travers des métaphores mathématiques, il met en avant l'idée que l'amour, au lieu de s'ajouter, semble se réduire, laissant un goût amer de nostalgie et de perte. Le contexte se situe autour d'une rupture où l’on ressent l'absence d'un être cher et les questions sans réponse sur la pérennité des sentiments. L'artiste exprime l'idée que les bons moments, lorsque l'amour était fort, semblent désormais lointains, et l'équation des relations semble déséquilibrée, révélant une réalité accablante.