Goodbye California

Nicolas Peyrac

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(Mesures à 2 temps) 1 temps | 1 temps Intro :                     |  Goodbye California ! Je t'aimais bien, il me semble, Y'a longtemps   Mais j'ai redécouvert Paris        Goodbye California ! Ne m'en veux pas, s'il me semble Que chez moi   C'est plus ici qu'à Beverly !         Good bye California ! Je t'aimais bien, mais l'amour Oh ! Ça s'en va   Sans qu'on sache vraiment pourquoi         Good bye California ! On se reverra, un jour, Qui peut dire   Comment demain la vie sera ?     J'ai un peu marre de ton côté bidon Le genre maison couleur bonbon Ne me fait plus faire de bonds J'ai pourtant vu l'endroit, l'envers De Malibu et de Bel Air     Je voudrais bien qu'on oublie les dollars, Qu'on parl' moins d'argent que d'espoir Et qu'on nous dise que les stars, Après tout, ne sont pas des dieux Presqu'inutiles et jamais vieux      Goodbye California ! Je t'aimais bien, il me semble, Y'a longtemps   Mais j'ai redécouvert Paris        Goodbye California ! Ne m'en veux pas, s'il me semble Que chez moi   C'est plus ici qu'à Beverly !    Je voudrais bien qu'on arrête un moment De dire que musicalement C'est de chez vous que vient le vent Le vent, il vient de n'importe où Et, quelque fois, c'est de chez nous   Arrêtez de cultiver le français, Le genre restaurant bien coté Où l'on ne bouffe qu'à moitié Quand on a les yeux occupés Par les stars qui viennent diner !    Goodbye California ! Je t'aimais bien, il me semble, Y'a longtemps   Mais j'ai redécouvert Paris        Goodbye California ! Ne m'en veux pas, s'il me semble Que chez moi   C'est plus ici qu'à Beverly !     Et si j'étais un enfant de chez vous, J'aurais du mal à être fou. Le Pacifique, c'est pas tout Moi, je connais, en Normandie, Des coins où plane la folie.     Goodbye California ! Je t'aimais bien, il me semble, Y'a longtemps   Mais j'ai redécouvert Paris        Goodbye California ! Ne m'en veux pas, s'il me semble Que chez moi   C'est plus ici qu'à Beverly !         Good bye California ! Je t'aimais bien, mais l'amour Oh ! Ça s'en va   Sans qu'on sache vraiment pourquoi         Good bye California ! On se reverra, un jour, Qui peut dire   Comment demain la vie sera ?          Goodbye California ! Je t'aimais bien, il me semble, Y'a longtemps   Mais j'ai redécouvert Paris        Goodbye California ! Ne m'en veux pas, s'il me semble Que chez moi   C'est plus ici qu'à Beverly !            (Ad libitum)

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empty heart empty heart Am, B7, E, Dm, G, C, F, Cm
empty heart empty heart A6/9, Bm7, E7, A, Fmaj7, E, Am, Dm, G, C, B, F
Cette chanson évoque un sentiment de nostalgie envers California tout en exprimant une certaine satisfaction d'avoir redécouvert Paris. L'artiste se remémore les moments passés sur la côte ouest, mais souligne que son cœur appartient désormais à la Ville Lumière. Il évoque une désillusion face au mode de vie californien, en critiquant le superficiel et l'obsession pour l'argent, tout en célébrant le charme et l'authenticité de Paris. Dans ce contexte, la chanson reflète un retour aux sources, un besoin de se reconnecter à des valeurs plus profondes que celles souvent dépeintes à Hollywood. Elle invite à réfléchir sur ce que l’on chérit vraiment dans la vie et sur l’endroit qui peut nous procurer un véritable sentiment d'appartenance.