Dirty Knife

Neko Case

Transposer:

So suddenly the madness came With it's whiskered, wolven, ether pangs He locked the door And he shut the blinds He laid down on the floor and he slept like iron While the dirty knife bore deep Into his spine The blood runs crazy The blood runs crazy Cascading letters pool on the stairs The grass is high, the cats are wild You can't even touch the tip of their tails And the blood runs crazy with giant strides He sang nursery rhymes to paralyze The wolves that Eddy out the corner of his eyes But they squared him frozen where he stood In the glow of the furniture piled high for firewood And the blood runs crazy with giant strides And the woodsman failed to breech those fangs in time So they dragged him through the underbrush Wearing three winter coats and a dirty knife krichit shaleno, strekoche zubami -> He shouts very loudly, grinding his teeth La la la la, la la la la krichit shaleno, strekoche zubami La la la la, la la la la

Du même artiste :

empty heart empty heart G, Em, C, D, B
empty heart empty heart A, E, F#m, D, Bm
empty heart empty heart Dm, A7, F, Bb7, C, Am, Db
empty heart empty heart G, C, Em, A, Bb, Eb, Gm
empty heart empty heart Em, C, F, G, Fm
empty heart empty heart E, Am, B7, F
empty heart empty heart Cm, F, Fm, Bb, G, Dm, Gm, F#, D#
empty heart empty heart Em, G, C, B7
La chanson évoque une plongée dans la folie, illustrée par une lutte intérieure face à des forces obscures et une angoisse palpable. L'héroïne se retrouve immobilisée, paralysée par des images de danger, tandis qu'une sorte de lutte pour la survie se déroule autour d'elle. Les métaphores du couteau et du sang évoquent la souffrance et la violence qui l’entourent, tandis que des éléments naturels, comme des chats sauvages et une forêt, accentuent un sentiment de désordre et de menace. Le contexte semble être celui d'une crise personnelle, peut-être une rupture entre la sécurité domestique et l'anxiété extérieure. La référence à des comptines et à un refuge temporaire montre une tentative de rationaliser ou de se protéger de ce qui devient incontrôlable, mais le sentiment d'impuissance reste omniprésent. La tension entre le refuge et le danger est palpable, comme si chaque moment était une bataille à gagner contre des forces invisibles mais bien réelles.