Le cul par terre

Miossec

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J’ai perdu ton joli goût ma chère  Cette nuit sous les étoiles  Et je ne sais plus trop quoi faire  Je me sens seul je me sens sale  Et ça me fout un peu en l’air  D’être bon que pour les râles  Titubant sous les réverbères  Qui me rendent encore plus pâle  Toute la nuit bière sur bière  A la recherche d’un animal  Qui se laisserait faire  Pour qui ce serait égal  D’avoir un homme droit et fier  Ou un qui s’étale  Et qui jure contre la terre  Et la mer et les étoiles  Sans un regret sans un adieu  Sans un soupir sans un remords  J’ai perdu le goût de la chair  Cette nuit après le bal  Et ça me fout le cul par terre  Dans les endroits un peu sales  Qui sentent si bon la bière  La bonne chaleur de l’animal  Qui se demande qui a salé la mer  Qui a sali la terre ça t’est égal  Sans un regret sans un adieu  Sans un soupir sans un remords

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empty heart empty heart Am, Em, Dm, C
empty heart empty heart Em, D, C
empty heart empty heart F#m, Dbm, D, A, E, F, G, A7
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empty heart empty heart Em, C, D, G
empty heart empty heart Em, C, B, D, G
empty heart empty heart Em, D, C
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La chanson évoque une profonde solitude et une perte de repères après une nuit de fête. Le narrateur se retrouve désillusionné, se remémorant des moments de plaisir qui lui échappent désormais. Il affronte une réalité crue, où le goût de l'amour et des plaisirs charnels semble s'être évaporé, laissant place à une mélancolie palpable. Le contexte de cette œuvre semble s'inscrire dans une ambiance nocturne, où l'ivresse et la recherche de connexion se mêlent à une certaine forme de désespoir. Il s’agit d’un appel à l’introspection dans un cadre où la fête se transforme en une quête désespérée de sens, finalement teintée d'amertume.