Les bières aujourd'hui s'ouvrent manuellement

Miossec

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Notre histoire ne date pas d’hier  Si on l’écoute on l’entend  S’époumoner cracher des glaires  On se demande comment elle a fait un pas devant  Ça restera toujours pour moi un mystère  Comment le corps s’habitue  Quand l’amour meurt  Doucement  Allez !  Sans même avoir eu un jour le flair  Que la chair s’éteint lentement  Ça c’est le soir où t’as éteint la lumière  En te retournant sur le flanc  Le lendemain on s’est réveillé derrière contre derrière  Le lendemain on s’est réveillé  Avec nos dos comme  Paravents  Allez !  Tu m’as dit  Que je devrais même ouvrir une bière  Tu m’avais pas dit  Depuis si longtemps  Que je ne savais même plus comment il  Fallait faire  Les bières aujourd’hui s’ouvrent  Manuellement  Te souviens-tu du bruit de nos cuillères  Qui est mort ? on se serait cru à  un enterrement  C’est nous deux qui descendions sous terre  Quand la nuit j’avais grincé des dents  Tu m’as demandé pourquoi j’étais sur les nerfs  Pourquoi j’étais si nerveux  Depuis quelques temps  Allez !  Refrain

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La chanson évoque une relation qui semble marquer le temps, où les souvenirs se mêlent aux désillusions. On découvre un homme qui se remémore les instants partagés, oscillant entre la nostalgie et la tristesse, illustrant comment l’amour peut s’éteindre progressivement. Les images de la routine quotidienne et des petits gestes, comme ouvrir une bière, prennent une dimension symbolique, représentant un passé heureux qui se heurte à la réalité présente. Il y a aussi une réflexion sur les tensions et les incompréhensions qui empoisonnent la relation, soulignant le chemin difficile de l'amour en déclin. Les motifs du corps et de la chair se conjuguent à l'idée de l'absence, créant un tableau poignant de l'intimité perdue.