Ça m'étonne pas

Mickey 3D

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Une jolie petite fille qui marchait dans la rue,   Que je ne connaissais pas, Je lui dis:" Petite fille, qu'est-ce que tu fais dans ma rue ?   Je ne te connais pas". Elle me dit :" Je viens juste de m'installer ici,   Et si ça ne te plait pas, Tu peux me faire la guerre ou me pourrir la vie, mais,   Je ne partirai pas". On aurait pourtant pu être ami, aller danser au bal, Se croiser le matin, se voir l'après midi, Se balader sous les étoiles. On pourrait pourtant tous être amis, Un peu comme les fourmis, Mais les gens sont comme toi; toujours ils se méfient, Alors la guerre, ça m'étonne pas. Oh ah oh, oh ah oh, oh oh oh (x2) Une jolie petite fille qui marchait dans la rue,   Que je ne connaissais pas, M'a fait prendre conscience en deux, trois mots, pas plus,   Que je n'existais pas. Cette jolie petite fille qui marchait dans la rue,   Je ne l'oublierai pas, J'ai voulu la revoi, mais je n'ai jamais pu, car   Elle n'habitait pas là. On aurait pourtant pu être ami, aller danser au bal, Se croiser le matin, se voir l'après midi, Se balader sous les étoiles. On pourrait pourtant tous être amis, Un peu comme les fourmis, Mais les gens sont comme ça; toujours ils se méfient, Alors la guerre, ça m'étonne pas. Oh ah oh, oh ah oh, oh oh oh (x2)

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empty heart empty heart F, Gm, Bb, Dm
empty heart empty heart D, C, Em, D#
empty heart empty heart Em, Bm, Am, C, D, G
empty heart empty heart Bm, G, D, A, Em, F#m
empty heart empty heart Gm, Cm, F, Bb
empty heart empty heart

G, D, Em, C, F
empty heart empty heart Dm, Am, Em, C, G, F, E
Cette chanson raconte l’histoire d’une rencontre fugace entre un narrateur et une petite fille qu’il ne connaît pas. Elle arrive dans sa rue, et au lieu de créer du lien, leurs échanges mettent en lumière la méfiance qui existe souvent entre les gens. Le narrateur réalise que cette méfiance empêche les relations amicales de se développer, illustrant ainsi une tristesse face à la solitude et à l’absence de connexion humaine. Le propos se concentre sur les occasions manquées d’amitié et de complicité, évoquant des images de moments simples et joyeux qu’ils auraient pu partager. La petite fille, symbole de l'innocence et de l'ouverture, disparaît cependant, laissant le narrateur avec un sentiment de désespoir face à un monde où les gens préfèrent se méfier plutôt que de s'ouvrir à l'autre.