À l'italienne

Michel Sardou

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Chante-nous une chanson, l'artiste, Une chanson d'homme, une chanson triste Avec une voix à l'italienne Une voix brisée, presqu'inhumaine Qui jaillirait des profondeurs Qui nous enflamme l'âme et le coeur Nous n'aurons connu qu'un seul hiver Adieu mon ciel adieu ma terre Chacun peut partir où il veut Nous avons brûlé la dernière heure Adieu mon corps, adieu mon coeur Bonjour les jours qui sonnent creux Nous n'avons à craindre aucun remords Adieu ma vie, adieu ma mort La fin du monde est dans tes yeux (Instrumental) : C'est joli, l'artiste Mais c'est un peu triste Pour une chanson d'amour Dis-nous les mots tendres Qu'une femme veut entendre Dans certains lieux, à certaines heures A quoi bon parler de nos victoires De nos promesses dérisoires Que chacun s'en aille où il veut A quoi bon sortir les vieux sourires Les mots usés qui font mentir La fin du monde est dans nos yeux Nous n'aurons connu qu'un seul hiver Adieu mon ciel, adieu ma terre...

Du même artiste :

empty heart empty heart C, G, Am, Em, F, G4, G7
empty heart empty heart D, D2, D4, A, Em, C, B7, Bb, Bm, Gm, A7
empty heart empty heart E, E6, A, B7, C#m, G#, F#
empty heart empty heart C, C/B, Am, Am/G, Dm, Dm/C, G7, E7, F, B7, Em
empty heart empty heart F, C, Dm, Gm, Gm/F, Em, Bb, C7/E, F/G, G, F/A, Gm7, Eb7, Ab, Eb, Fm, Bbm, Bbm/Ab, Eb7/G, Db, Ab/C
empty heart empty heart A, E, F#m, D, B7, C, G, Am, C#m, F#, Ab, Eb, Fm, Db, Bb, Eb7
empty heart empty heart F, Em, G, C, Dm/F, Fmaj7, G4, G/B, F/A, Eb, Bb, Ab, Cm
empty heart empty heart F, Bb, C, Dm, A, Eb7, Ab, Eb
empty heart empty heart A, D, E7, G, C, F, G7, Bb, Am
empty heart empty heart Am, F, E7, Dm, G7, C, F#7, Bm, G, Em, A7, D, B, F#, D7, B7, A7/G, Cm/G
Cette chanson évoque la mélancolie et la profondeur des émotions humaines. L'artiste exprime un désir d'une voix puissante et touchante, qui reflète à la fois la tristesse et la beauté des sentiments. Il parle de départs, d'adieux, et de la nostalgie qui accompagne le passage du temps. Le texte évoque aussi une certaine désillusion face aux promesses de la vie, tout en soulignant l'intensité des regards et des connexions humaines, comme si la fin du monde pouvait se lire dans les yeux de l'autre. C'est une réflexion sur l'absence, le souvenir et la fragilité des instants partagés.