Tu dis n'importe quoi

Michel Paje

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Intro : Quand je t'ai rencontrée,          Tu avais mal aux pieds,          Les cheveux dépeignés,          Un bouton sur le nez. En plus de ça, tu racontais n'importe quoi. (Oui, n'importe quoi) N'importe quoi, quoi Tu dis n'importe quoi. Tu n'peux pas t'empêcher de babiller. N'importe quoi, quoi. Tu dis n'importe quoi. C'est plus fort que toi. Tu dis n'importe quoi (tu dis n'importe quoi) Instrumental : Puis tu m'as invité A te faire danser. Je n'ai pas refusé. D'ailleurs, ça me plaisait. Mais, dans mes bras, tu as raconté n'importe quoi. (Oui, n'importe quoi) N'importe quoi, quoi Tu dis n'importe quoi. Tu n'peux pas t'empêcher de babiller. N'importe quoi, quoi. Tu dis n'importe quoi. C'est plus fort que toi. Tu dis n'importe quoi (tu dis n'importe quoi) Instrumental : Puis le temps est passé. Je me suis habitué. Et, pour tout t'avouait, Je m'suis mis à t'aimer. Maint'nant, c'est moi qui fais pour toi n'importe quoi (Oui, n'importe quoi) N'importe quoi, quoi Je ferai n'importe quoi. Je saurai t'empêcher de me quitter. N'importe quoi, quoi. Je ferai n'importe quoi. Pour t'avoir à moi, je ferai n'importe quoi (Je ferai n'importe quoi). Je ferai n'importe quoi, (Je ferai n'importe quoi). Je ferai n'importe quoi, quoi Quoi, Balam, balam, Quoi, Balam, balam, Quoi, Balam, balam, Quoi.

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empty heart empty heart E, C#m, G, A, F#m7, B7, E7, C, F#m, B
La chanson évoque une rencontre inattendue avec une personne un peu désordonnée, à la fois physiquement et verbalement, qui ne peut s'empêcher de parler sans cesse. Au fil du temps, le narrateur s'attache à elle malgré ses particularités et finit par éprouver un amour profond, prêt à tout pour ne pas la perdre. Ce récit met en lumière la tendresse qui peut émerger des maladresses et des eccentricités de l'autre. C'est une belle illustration de la façon dont l'amour peut transformer notre perception des défauts de l'autre, nous rendant plus indulgents et engagés.