Adieu

Meiitod

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(2x) Tout le temps je sors Tout le temps je suis pressé Quand je m'endors Mes yeux sont mouillés, on a tout gâché Je pense encore À tous nos péchés L'hiver est froid dehors Qu'est-ce qui était le pire, de rester ou partir? Où sont passées les étincelles de nos corps ? Quand on était deux on était les plus forts Y avait qu'une rageuse qui pouvait nous séparer Elle s'appelait la mort Au revoir ma femme Au revoir mon amour, mon Himalaya On se reverra ou peut-être pas C'est toute ma vie qui vole en éclat Je n'ai pas compris, je ne comprendrai pas Pourquoi les gens qui s'aiment se font tant de mal Et se lèvent dans le sang? Les adieux, c'est maintenant (2x) Si t'étais morte Ce serait peut-être plus facile Que de te savoir Sûrement pas si triste que ça, pas aussi triste que moi Il n'y aura plus Que la dernière chance Quand on se tue Plus rien n'a d'importance Qu'est-ce que t'en penses? Où sont passées les étincelles de nos corps ? Quand on était deux on était les plus forts Y avait qu'une rageuse qui pouvait nous séparer Elle s'appelait la mort Au revoir ma femme Au revoir mon amour, mon Himalaya On se reverra ou peut-être pas C'est toute ma vie qui vole en éclat Je n'ai pas compris, je ne comprendrai pas Pourquoi les gens qui s'aiment se font tant de mal Et se lèvent dans le sang? Les adieux, c'est maintenant

Cette chanson parle d’un adieu difficile et du chagrin qui accompagne la séparation. Le narrateur se remémore une relation marquée par des moments forts, mais il est à présent confronté à la douleur de la perte. Il se demande ce qui a pu détruire leur amour et pourquoi les personnes qui s’aiment s’infligent tant de souffrance. L’atmosphère est empreinte de nostalgie, évoquant des souvenirs de bonheur face à la dure réalité de l’absence. Le contraste entre la force qu’ils avaient ensemble et la solitude actuelle souligne la profondeur de la peine. En toile de fond, la mort est présentée comme la séparation incontournable qui a brisé leur union.