4 par 3

Maxim Nucci

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

Elle est à Milan pour Gucci Surement à Paris pour Armani C'est sûr que rue saint Séverin Chez moi des défilés il y en a moins Elle est plantée là dans ma rue Déshabillée à moitié nue Elle me nargue en bas de soie Etalée en 4 par 3 Même si c'est dur Faut que j'l'oublie Mais j'vous assure C'est elle qui m'suit J'ne fais pas de pas sans elle Sans qu'j'la vois étalée dans d'la dentelle Elle est dans mon quotidien Dans les magazines masculins Alors j'la fuis toute la journée Mais c'est elle qui me harcèle, vous comprenez Elle est plantée là dans ma rue Déshabillée à moitié nue Elle me nargue en bas de soie Etalée en 4 par 3 Même si c'est dur Faut que j'l'oublie Mais j'vous assure C'est elle qui m'suit Et je suis sûr qu'un beau matin Elle partira du saint Séverin Y'aura face à moi à la place Le dernier survêt' Adidas Mais c'est pas dit évidemment Ce n'soit pas elle en survêtement Elle est plantée là dans ma rue Déshabillée à moitié nue Elle me nargue en bas de soie Etalée en 4 par 3 Même si c'est dur Faut que j'l'oublie Mais j'vous assure C'est elle qui m'suit Elle est plantée là dans ma rue Déshabillée à moitié nue Elle me nargue en bas de soie Etalée en 4 par 3 Même si c'est dur Faut que j'l'oublie Mais j'vous assure C'est elle qui m'suit

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Em, G, A, F, D, C, B, Am7, Bm
empty heart empty heart Fm, Eb, Db, Cm, Bbm, C, G#
La chanson évoque une obsession pour une femme irrésistible qui semble toujours présente dans la vie du narrateur. Il la voit comme une muse affichée dans les vitrines des grands magasins de mode, comme un symbole de désir qui le hante. Malgré ses efforts pour l'oublier et se détourner d'elle, il réalise qu'elle occupe une place centrale dans ses pensées et son quotidien. Le contexte met en lumière ce fossé entre l'univers glamour de la mode, avec des références à Milan et Paris, et la réalité plus modeste du narrateur, qui lutte contre cette obsession qui le poursuit partout où il va. Cette dualité entre rêve et réalité crée une tension palpable, rendant la situation d'autant plus poignante.