Le bonheur

Maurane

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(x2) Le bonheur est passé A deux doigts de nos lèvres Deux doigts si fins  que j'ai presque pu le goûter Le bonheur a sculpté    De son ciseau d'orfèvre  Les souvenirs impossible à effacer Il n'arrivera jamais Que nous vivions ensemble          Mais maintenant je sais       A quoi le bonheur ressemble      A quoi le bonheur ressemble        Le bonheur a passé Comme passe une fièvre  Six jours au lit et les symptômes avaient cessé Toi tu t'es installé  Doucement dans mon rêve Je suis guérie  je n'en parle plus qu'au passé Il n'arrivera jamais Que nous vivions ensemble          Mais maintenant je sais       A quoi le bonheur ressemble      A quoi le bonheur ressemble        A quoi le bonheur ressemble                       (x2) Le bonheur est si beau quand simplement il passe   Qu'il ne faut Jamais vouloir l'emprisonner Jamais vouloir l'emprisonner Le bonheur est passé A deux doigts de nos lèvres Deux doigts si fins  que j'ai presque pu le goûter Le bonheur a sculpté    De son ciseau d'orfèvre  Les souvenirs impossible à effacer Il n'arrivera jamais Que nous vivions ensemble          Mais maintenant je sais       Que le bonheur ressemble       Que le bonheur ressemble         Que le bonheur ressemble         Te ressemble            

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empty heart empty heart Gm, Dm/F, Ebmaj7, Cm7, D7, Em, C, Am7, Am6, Em/D, B7/4, B7, Cm9, Cm13, Gm7, Cm6, D7/4
empty heart empty heart Cm, G4, Fm, Ab, G, Db, Gb, F, F4, Cm/Bb, G6
empty heart empty heart A, E7, A6, F
empty heart empty heart Cm, D7, G7, Eb, F, G4, G, F7
empty heart empty heart Ab, Db, Fm, G7, C7, Cm7, Bbm7, Eb7
empty heart empty heart A, G#, G#7, Bm, Bm7, E, Dbm, F#7, Ebm, F#
empty heart empty heart Fm6, C, Cm, B, G7, Cm7, Bb, F7, A, G#, G, Eb, Bb7/D, C7, Fm, Em, Am6, E, B7, Em7, D, Cm6, D7, Gm, F#, Gm7, F
empty heart empty heart G, Em, D, C, Am
empty heart empty heart C, Gm7, F, Dm, Am7, Dm7, G, Eb, Bb, Fm, E, Em7, A
empty heart empty heart Am2, G, F, D2, D, Am, Em7
Cette chanson évoque l'idée que le bonheur est souvent furtif et difficile à saisir. Elle parle d'un bonheur passé, effleurant à peine la vie de l'artiste, comme une douce rencontre que l'on a presque pu toucher. Les souvenirs confectionnés par ce bonheur sont marquants, bien qu'ils ne puissent être entièrement vécus dans le présent. Il y a cette acceptation que certaines choses, bien qu'éphémères, laissent une empreinte indélébile. Le texte nous invite à réfléchir à notre rapport au bonheur, à ne pas vouloir le retenir ou le contrôler, mais à reconnaître sa beauté lorsqu'il passe à nos côtés. Tout en savourant ces souvenirs, il y a aussi un certain apaisement face à la réalité, une compréhension que l'on peut se rappeler de cette douceur sans être en mesure de la revivre pleinement. Dans cette contemplation, il y a à la fois mélancolie et sérénité.