Nouvelles brèves

Masdau

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Le matin se lève Les nouvelles brèves M'assaillent déjà On parle de morts De raisons, de tords Mais jamais de toi De toi qui espères Dans des nuits trop brèves Blottit sous tes draps A rêver du jour Où le grand amour Te chercher viendra Dans un beau carrosse doré Comme dans un conte de fée. / Le monde est fou   /     lier    /       Le monde est fou Balayer Les tonnes de poussières Qui étouffent les rêves d'amour Les tonnes de misères Qui empêchent les rêves d'amour L'oiseau sur la branche Chante sa romance Le chasseur le tue Au nom de la chasse On prive l'espace D'un chant ingénu Sur quoi aimerons-nous Ne reste que la boue Pour rire et chanter La terre poubelle Empêche les belles De te cajoler Il faut être gonflé de nos jours Pour oser se parler d'amour (Refrain) Coda : Le matin se lève Les nouvelles brèves M'assaillent déjà On parle de mort De raison De tord Mais jamais de toi ! Transition : Chanteur Athée

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A, C#7, D7, F#6, B7, E7
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Pour juguler la crise de foi

A, C#7, D7, F#m, D, B, E7
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Le tango de l'épouvantable

Gm, A, D7, Cm, F, Bb, Eb, Ab
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On n'est pas plus con que la moyenne

A, E7, F#, Bb, Am, C#7, D7, B
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À l'ombre des collines

C, G, F, Em, E9, Am, Dm, E, /A, /B, /C
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Pas beau la guerre

D, G, A, Bm, Em
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Depuis que je suis mort

F, Bb, G, C, Dm, C7, Am, Bb7, G7
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Je marche dans ma nuit

A, D7, E7, A7, D, E
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La misère

A, D, /E, E, E7, G, A7, F, C, D7
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La femme de Dieu

C, Dm, G, F, G7, C7, Em, Am, E7, B, D, E, /A, /B
La chanson évoque le tumulte d’un quotidien marqué par des nouvelles tragiques, où la mort et les conflits semblent dominer les discussions. Dans ce monde sombre, le protagoniste aspire à l’amour véritable, à des rêveries et à des moments de tendresse, loin des atrocités qui l’entourent. Il décrit un désir d’évasion, rêvant d’un amour pur et idéal, comme un conte de fées où l'on pourrait célébrer la vie plutôt que de subir la dureté du monde. Par ailleurs, il attire notre attention sur l'absurdité des priorités d’une société qui choisit souvent de chasser la beauté et les rêves, sacrifiant l'innocence et la poésie au profit de la violence et de la souffrance. Les métaphores de l’oiseau et du chasseur illustrent la perte de la liberté et de l'espoir, tandis que l'appel à aimer devient presque un acte de rébellion.