Encore

Martin Rappeneau

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J'en ai passé des nuits noires, des nuits blanches A rêver de revanche Ce soir c'est encore à toi que je pense Toi que je pardonnerai demain J'en ai passé des nuits noires, des nuits blanches Des appels au secours Tu pars souvent, mais tu reviens toujours J'ignore encore par quel détour Encore, je me vois t'attendre Encore, j'accuse l'ironie du sort J'ai tort, ça n'a aucune importance Je te donnerai encore ta chance Quand on me demande des nouvelles de toi Je déguise tes absences C'est encore moi qui remplis tes silences Je joue mais je te perds d'avance Encore, je me vois t'attendre Encore, j'accuse l'ironie du sort J'ai tort, ça n'a aucune importance Je te donnerai encore ta chance Faisons le compte de nos batailles Huit ruptures, neuf retrouvailles Des allers-retours Quand jours après jours Y a trop de moi sans toi Encore je me vois t'attendre Encore j'accuse l'ironie du sort J'ai tort, ça n'a aucune importance Je te donnerai encore ta chance           Mais ce sera la dernière fois je pense

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empty heart empty heart

Les figures imposées

F#m, C#/F, F#m/A, Bm7, C#7, A, A/F#, Abm7, F#m7, E7, D/E, E, Ab7, E#/A#, Ab7/C, C#m7, F#7, E7/D, Abm7/C#, C#
empty heart empty heart

Julien

Am, E, C, Dm, F
La chanson parle des tumultes d'une relation instable, où l'absence et le retour de l'autre provoquent des émotions contradictoires. L'auteur évoque des nuits passées à réfléchir à cette relation, entre désespoir et espoir. Il admet qu'il continue d'attendre cette personne, malgré les souffrances et les ruptures. Chaque fois qu'on lui demande des nouvelles, il essaie de masquer la douleur de ces absences. Le contexte de la chanson semble refléter un cycle de retrouvailles et de séparations, soulignant la difficulté d'oublier quelqu'un qu'on aime profondément, même quand cela semble voué à l'échec. Cette lutte intérieure montre une forme de résilience et de capacité à donner une nouvelle chance à l'autre, malgré les épreuves traversées.