See Emily Play

Martha Wainwright

Transposer:

Emily tries but misunderstands She's often inclined to borrow Somebody's dream till tomorrow There is no other day Let's try it another way You'll lose your mind and play Free games for May See Emily play Soon after dark Emily cries Gazing through trees in sorrow Hardly a sound till tomorrow There is no other day Let's try it another way You'll lose your mind and play Free games for May See Emily play Put on a gown that touches the ground Float on a river Forever and ever Emily There is no other day Let's try it another way You'll lose your mind and play Free games for May See Emily play Free games for May See Emily play Free games for May See Emily play___

Du même artiste :

Hearts Club Band

E, A

Look Into My Eyes

Bbm, Ebm, Fm, G#, Db, F, Eb

When the Day Is Short

C, C9, F, G

Who Was I Kidding

Eb, D, Dmaj7, Cmaj7, D7, Bm7, G6, Bm, E, Am, Dm, A, D6, A6, G, C

The George Song

G, E7, C7, D, D7, A, C, Gm, F

Everything Wrong

C, G, Dm, F

When The Day Breaks

G#, C, Fm, F, Bb, Eb, Eb7, C7, G#7, Db

So Many Friends

Am, Em, G, B7, Bm, D, A, E7

Proserpina

F, Am, Dm, Em, Gm7

Leave Behind

F, Dm, Am, C

La chanson évoque une jeune femme, Emily, qui se débat avec ses pensées et ses émotions. Elle emprunte les rêves des autres, cherchant une forme de réconfort dans un monde où le temps semble se figer. Au fil des vers, on sent sa mélancolie s'intensifier à la tombée de la nuit, alors qu’elle contemple la vie à travers le prisme de la tristesse. L’idée de jouer, malgré l’adversité, est omniprésente, suggérant un besoin d’évasion dans une réalité parfois accablante. Ce morceau semble capturer une époque où l’innocence se mêle à la douleur, un moment suspendu entre l’enfance et l’âge adulte. Les références à la nature et à la légèreté, comme porter une robe qui touche le sol, se conjuguent à des émotions plus sombres, soulignant un contraste poignant entre la beauté du jeu et la gravité des larmes d’Emily. C'est un appel à se libérer, à jouer et à trouver la paix malgré les afflictions.

Le Chansonnier