Je n'ai rien appris

Marie Laforêt

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Intro :/ / (2x) Quand je voyais les nuages Dessiner des ombres aux feuillages Je croyais que des coquillages Se promenaient au ciel Mais aujourd'hui je sais qu'ils n'ont Que neige et pluie dans leur coton Je les ai vus plus d'une fois S'amonceler sur moi J'ai vu le ciel des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout // // J'ai voulu laisser mon coeur Danser la danse du bonheur J'ai cru que l'amour était né Dans un conte de fées Mais aujourd'hui je sais qu'il faut Souvent quitter un lit trop chaud En souriant pour bien cacher Tout ce qu'on a donné J'ai vu l'amour des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout // // Découvrir chaque matin Qu'on tient le monde au creux des mains Plein d'orgueil et plein d'ambition L'amitié pour chanson Et puis des amis étrangers Qui vous disent "Tu as changé" Et la sagesse qu'on a gagnée Et ce qui est perdu J'ai vu la vie des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout // //(ad libitum)

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Siffle, siffle ma fille

Am, G, A2, F, E, A7, Dm, C

Dites-lui

Bm7, Em7, Dmaj7, G, F#, Bm, C, Gmaj7, F#7, A7

La plage

Dm, F, Gm6, A4/5, A7, D7, Gm, Gm7, C7, A, E7, Dm6

D'être à vous

C, Em, Am, G, F

La bague au doigt

C, G, A7, D7, G6, G7, Em, Ab, Db, Bb7, Eb7, Ab7, Fm, Ab6

Le mal d'aimer

E, A, B, Bm, C#7, F#m, Am, C#m, F#, G, D, Am7, Am6

Quelle idée folle

C, D/C, F, Fm, G, Dm, C7, G7, C/E, Am, B7, Em

Qu’est-ce qui fait pleurer les filles

D, F#m, G, A, Bm, Em, Dmaj7, D7, Gm, A7

Viens, viens

Am, E, Dm, E7, C, G

Manchester et Liverpool

Am, Dm, E7, A9, Bb, B7, Am7

La chanson évoque un voyage introspectif et poignant à travers les illusions et les désillusions de la vie. L'artiste partage ses réflexions sur les rêves perdus et la réalité parfois dure à accepter. Elle parle de sa quête de bonheur et d'amour, en réalisant que ces sentiments ne se manifestent pas toujours comme dans les contes de fées. Les joies comme les peines de l'existence sont présentées, avec une mélancolie qui pointe que, malgré les expériences accumulées, elle a l'impression de n'avoir rien vraiment appris. Dans ce contexte, on ressent la fragilité de l'être humain face aux épreuves, ainsi qu'une certaine tristesse face à la vérité des relations et des ambitions. Les souvenirs de l'enfance, teintés d'innocence, contrastent avec la sagesse acquise, mais souvent teintée de regrets. C'est un reflet sincère de l'existence humaine, avec ses hauts et ses bas, et une invitation à méditer sur ce que signifie véritablement apprendre de notre parcours.

Le Chansonnier