Arlequin

Marie Laforêt

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Intro : Mardi gras, carnaval Par les rues, j'allais seule Malheureuse Tu m'as vue; je pleurais Ignorant mon nom, t'as pris ma main Mon chagrin Oh ! Oh ! Oh ! Arlequin Tu joues à Arlequin Un clown un peu fou Et même un pantin-in-in Arlequin, tu joues à Arlequin Jusqu'au matin où mon destin Me reprendra Colombine, Colombine Oh ! Arlequin Tu joues à Arlequin Jusqu'au matin où mon destin Me reprendra Mardi gras, carnaval Dans les rues, on est deux Presque heureux Contre moi, j'ai ton bras Oublions le mal qu'on nous a fait Nos regrets Oh ! Oh ! Oh ! Arlequin Tu joues à Arlequin Un clown un peu fou Et même un pantin-in-in Arlequin, tu joues à Arlequin Jusqu'au matin où ton destin Te reprendra Oh ! Oh ! Oh ! Arlequin Tu joues à Arlequin Un clown un peu fou Et même un pantin-in-in Arlequin, tu joues à Arlequin Jusqu'au matin où ton destin Te reprendra Colombine, Colombine Oh ! Arlequin Tu joues à Arlequin Et je rirai, moi qui n'ai pas le coeur à ça  

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Dans cette chanson, une femme évoque sa solitude durant le carnaval, un moment de fête où elle se sent pourtant malheureuse. Elle rencontre un personnage, un clown, qui l’encourage à oublier son chagrin en jouant et en dansant ensemble. Malgré l'atmosphère de joie, elle sait que son destin la rattrapera au matin, lui rappelant la réalité de sa douleur. Le cadre du carnaval, avec ses déguisements et son ambiance festive, contraste avec les émotions intérieures de la narratrice. Cette dualité entre la façade du plaisir et la souffrance ressentie révèle une certaine mélancolie, soulignant à quel point la joie peut parfois être une échappatoire face aux blessures du cœur.