Rose des prairies

Marie-José

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C'était la rose des prairies Quand venait la saison nouvelle Aucune fleur n'était plus belle Que Mary-Rose des prairies Elle attendait le temps Le temps des fleurs fragiles Ou viendrait un prince charmant Pour l'emporter à  la ville C'était la rose des prairies Elle a fané à peine éclose Le givre est tombé sur la rose Qui attendait le temps joli De la montagne bleue Descends la cantilène C'est le vent qui chante l'adieu Pour les cow-boys de  la plaine Hum, hum, hum, hum …   Hum, hum, hum, hum … Hum, hum, hum, hum …    Hum, hum, hum, hum …   C'était la rose des prairies Elle a fané à peine éclose Le givre est tombé sur la rose Qui attendait le temps joli Il est bien court le temps des roses Le temps des roses des prairies …                   

La chanson évoque la beauté éphémère d'une jeune fille, Mary-Rose, qui symbolise la délicatesse et la fragilité des fleurs qui éclosent avec le printemps. Elle rêve d’un amour qui pourrait la sortir de sa solitude et l’emmener au loin, mais la réalité est dure, et le froid arrive trop vite, fânant ses rêves à peine nés. Le texte met en lumière le contraste entre l'espoir d'un bonheur épanouissant et la cruauté du temps qui passe, illustrant ainsi la mélancolie d'un amour perdu avant même d'avoir vraiment fleuri. C'est une belle réflexion sur la brièveté de la jeunesse et des rêves, rappelant que le temps des roses est un moment précieux, bien qu'il soit court.