J'ai le blues de vous

Marie Carmen

Transposer:

Intro : J'ai  le blues de vous Mes  amis disparus J'ai le blues de vous Je vous cherche partout Dans les bars, dans les rues Dans ces lieux incongrus Où nous avons vécu Nos désirs les plus fous J'ai le blues de vous raah ! raah !    Nous n'irons plus marcher À Saint-Germain-des-Prés Nos 20 ans sont partis en fumée J'ai le blues de vous Mes amis disparus Vous me suivez partout Dans la nuit du mois d'août Mes amis revenus Dans ce verre que j'ai_ bu Le dernier verre qui tue Dans la nuit qui me joue Le blues de vous raah ! raah ! raah ! Quand j'ai rayé vos noms De mon carnet d'adresses  La la la C'est toute ma jeunesse Qui s'en allait d'un bond  La  la  la De l'amour et des caresses On en trouve au surplus  La  la  la C'est toujours la tendresse Qui vous manque le plus  La la la la la Mes amis disparus J'ai le blues de vous La  la  la la la la la la la Dans les bars, dans les rues Dans ces lieux incongrus Où nous avons vécu Nos désirs les plus doux J'ai le blues de vous raah  raah        Et j'irai seule au matin Dans le Quartier latin Retrouver le parfum des cafés Blues de vous  La la la     J'ai le blues de vous Je vous cherche partout Blues de vous Mes pa-ra-dis per-dus

Du même artiste :

empty heart empty heart Am, F, Dm, E, C
empty heart empty heart Fm, Gm, G#, C, Db, Cm, Eb
empty heart empty heart Em, C, D, Bm, G, F, Bb, Ab, Am, Dm9
empty heart empty heart C, F, Fm, C/B, Am, Dm, Bb, D#, G#, C#, G
empty heart empty heart F, C, Gm, D, Bb, Eb, G, Am, E, A, Bm, F#, B, C#m, G#, G#4, Db, Ab, Ebm, Bb4
empty heart empty heart Am, Fmaj7, Am6, F6, G, F, C/G, Em, Dm, D, Fm, Am7, C
La chanson évoque la mélancolie d'une personne qui ressent l'absence de ses amis disparus. Elle se remémore des moments partagés, des lieux et des expériences où ces souvenirs étaient vivants. Chaque coin de rue et chaque verre de vin rappellent des instants de jeunesse, de joie et d'insouciance, maintenant teintés de tristesse. Même si elle tente de retrouver ces souvenirs, il est impossible d'échapper à la réalité de leur absence, marquant ainsi un profond sentiment de nostalgie. Le contexte semble être celui d'une réflexion sur le passage du temps et les liens d'amitié, évoquant les instants fugaces de la jeunesse perdue, dans un cadre parisien chargé d'histoire et de vie. C’est une manière de célébrer ce qui a été tout en reconnaissant ce qui n'est plus.