Au chalet

Marie-Annick Lépine

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Intro : Au chalet au bord du lac Cloutier À écouter du Neil Young dans l'salon Les lumières tamisées, le feu d'foyer La chaleur monte, c'est l'hiver qui fond doucement Loin de notre quotidien, des chemins battus On met d'côté nos petits chagrins de la vie On prend les heures qui passent Tranquillement, on ralentit car ici on peut voir C'est quoi un vrai ciel d'étoiles    C'est quoi un vrai Noël blanc     C'est quoi un décor que rien ne voile Ça fait quoi d'enfin pouvoir vivre au présent Le jours se réveille lentement Dans la douceur des rêves d'un sommeil sans bruit C'est le matin qui perce et tente de nous sortir De l'emprise des tendres mains qui bercent la nuit Mais personne n'est pressé On se raconte nos désirs, nos espoirs qu'on est en train de bâtir On entend l'eau qui ronronne au bout du quai Et nous on s'dit qu'ensemble, c'est l'fun de vieillir Mais personne n'est pressé On se raconte nos rêves, nos espoirs du moment et nous restons Au chalet au bord du lac Cloutier   À écouter du Neil Young dans l'salon 

Du même artiste :

empty heart empty heart C, Em, Am, G7, F, G
La chanson évoque des moments de simplicité et de douceur passés dans un chalet au bord d'un lac en hiver. Elle parle de l’attrait de se détourner du quotidien et de prendre le temps de savourer la vie, loin des préoccupations habituelles. Dans une ambiance chaleureuse, accompagnée de musique douce, les protagonistes se laissent bercer par le souvenir des rêves et des espoirs qu’ils partagent, tout en appréciant la beauté d’un ciel étoilé et la magie d’un Noël blanc. Le cadre est celui d'un matin tranquille, où le rythme de la nature se mêle à celui des conversations, sans précipitation, avec un sentiment de paix et de plénitude. Ces instants au chalet représentent une pause bienvenue, un retour à l'essentiel et à la connexion entre les êtres.