Je descends du singe

Marc Lavoine

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Intro : Il y a des jours de litanie où les uns jouent avec l'ennui Des jours de silence où les ombres pensent. Il y a des jours de solitude, le coeur bat plus que d'habitude. J'suis blanc comme un linge, je descends du singe. Et je descends dans la rue parmi les gens perdus. Je vais, sur la jetée, parler au vent salé. Je vide ma bouteille, je bois jusqu'au soleil. Je vole jusqu'à la lie des mille et une nuits, ah !     J'suis blanc comme un linge, je descends du singe. Il y a des jours où tu me manques, des heures où le bonheur se planque Des jours de torture qui ont la dent dure. Il y a des jours de manquer d'air, à deux doigts de se foutre en l'air. J'suis blanc comme un linge, je descends du singe. Et je descends dans la rue parmi les gens perdus. Je vais, sur la jetée, parler au vent salé. Je vide ma bouteille, je bois jusqu'au soleil. Je vole jusqu'à la lie des mille et une nuits, ah !     J'suis blanc comme un linge, je descends du singe. Il y a des jours mal dans leur peau, qui ne trouvent pas le repos Des journées entières qui partent en arrière. Et je descends dans la rue parmi les gens perdus. Je vais, sur la jetée, parler au vent salé. Je vide ma bouteille, je bois jusqu'au soleil. Je vole jusqu'à la lie des mille et une nuits, ah !     J'suis blanc comme un linge, je descends du singe. Il y a des jours à te chercher sur les lignes de mon passé. J'suis blanc comme un linge, je descends du singe.                Je descends du singe,               Je descends du singe.               Je descends du singe.              

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Cette chanson évoque des moments de solitude et de désespoir, où l'on ressent un profond malaise. Le narrateur se sent perdu, comme s'il redescendait d'une réalité plus primitive, la vie urbaine étant une lutte contre l'ennui et la mélancolie. Les jours passent avec des sentiments d'absence et de nostalgie, tandis qu'il cherche à évacuer sa peine en se retrouvant au bord de la mer, dialoguant avec le vent. Le texte met en avant une quête personnelle, où l'on se sent parfois dénudé et vulnérable, mais aussi en quête de sens parmi les autres. Il n’y a pas de contexte particulier nécessaire pour comprendre cette œuvre, car elle aborde des thèmes universels de la condition humaine, comme le besoin de connexion et l'évasion face à la douleur. Les métaphores utilisées soulignent la fragilité des émotions et la lutte intérieure de chacun.