Rentrer au port

Mano Solo

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Intro : (parlé :) Les rues ne sont que des fleuves de feu Où se consument les amoureux L'amour c'est pas pour moi, C'est un truc pour les gens qui pleurent, De plaisir ou de bonheur, Mais mon corps est à sec Plus une larme ou même un cri Sortant du bec Rien à dire et rien à vivre Je ne fais que passer Les rues ne sont que des fleuves de feu Où se consument les amoureux Les rues ne sont que des fleuves de feu Où se consument les amoureux Il y a bien longtemps déjà, madame, Que j'ai abandonné les rames Et que le fleuve me trimbale sans idéal A mijoter dans ma timbale Le ciel est tellement grand Qu'il peut parfois faire froid Je me laisse porter par le courant Et j'essaie de ne plus penser à toi Les rues ne sont que des fleuves de feu Où se consument les amoureux La la la la la la La la la la Instrumental :... Mais j'avance, marinier du bûcher Sans regarder sans même y penser Je navigue sur les braises au fond des gorges et des falaises Mon gouvernail est parti dans les flammes Et depuis j'ai cessé d'espérer Rentrer au port sans tout qui crame Et que lui même n'ait pas cessé d'exister Les rues ne sont que des fleuves de feu Où se consument les amoureux Les rues ne sont que des fleuves de feu Où se consument les amoureux La la la la la la La la la la

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La chanson évoque un voyage intérieur, où l'image des rues devient celle de fleuves incandescents, symbolisant la passion ou la perte vécue par les amoureux. Le narrateur traverse une existence marquée par l'absence de l'amour, ressentant la douleur d'avoir abandonné l'espoir et la recherche de sens. Il se laisse emporter par le courant de la vie sans vraiment s'attacher à quoi que ce soit, évoquant une solitude profonde et un désespoir face aux souvenirs qui le hantent. C'est une réflexion sur la difficulté de se reconnecter au bonheur alors que tout semble consumé par des flammes symboliques.