La monogamie
Malajube
Tu bourgeonnes dans ma tête et tu t'enfonces dans mon cerveau Tu fais ressortir la bête et je sais que tu aimes les animaux Encore une fois j'en ai trop dit, j'ai perdu ta confiance On s'ra ensemble dans une autre vie, car tu me sembles heureuse Et puis de toute façon j'ai déjà perdu ma chérie Oh ! non, au nom de la monogamie Encore liés par la fibre, c'est du ciment sournois J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi Affaiblis par la fièvre, c'est chacun chez soi Avoue que tu en vois d'autres que moi Ma tête en tempête, ta tête en tempête, pour la vie, pour la nuit Encore liés par la fibre, c'est du ciment sournois J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi Affaiblis par la fièvre, c'est chacun chez soi Avoue que tu en vois d'autres que moi J'entre par la fenêtre, sors par la fenêtre, pour la vie, pour la nuit Et si seulement tu m'avais dit, ha haaaaaaaa ha Tout simplement j'aurais dit oui, oh ! oui T'es tellement belle quand tu souris, que j'en perd ma conscience Je t'aime, mais je l'aime elle aussi, mais tu me sembles heureuse Et puis de toute façon j'ai déjà perdu ma chérie Oh ! non, au nom de la monogamie Encore liés par la fibre, c'est du ciment sournois J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi Affaiblis par la fièvre, c'est chacun chez soi Avoue que tu en vois d'autres que moi Ma tête en tempête, ta tête en tempête, pour la vie, pour la nuit Encore liés par la fibre, c'est du ciment sournois J'avoue que j'en ai déjà vu d'autres que toi Affaiblis par la fièvre, c'est chacun chez soi Avoue que tu en vois d'autres que moi J'entre par la fenêtre, sors par la fenêtre, pour la vie, pour la nuit Et si seulement tu m'avais dit, ha haaaaaaaa ha Tout simplement j'aurais dit oui, oh ! oui Quand tu rugis, tu rougis, la bouche pleine de confettis Et tu danses, danses, danses, toute la nuit Et je chante sans soucis, que la vie est belle sans jalousie Et tu danses, danses, danses, toute la nuit...