Soledad

Luke

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Intro : J'ai aimé ta vie alors aime la mienne, dis à l'âme qui décède, que l'on n'en revient pas Au fond de nous la ville est un désert Sous les regards les canonnières, ne te retourne pas Souris ou saigne, souris aux drames La tête en arrière, Soledad Souris aux hommes, souris aux larmes   La tête en arrière, Soledad    Soledad En haut des crêtes, crier à l'univers Que sous l'écume il y a l'eau claire, qui m'emportera J'écraserais mon corps sous vos repères Comme un tocsin sonne la guerre, et l'on me répondra Souris ou saigne, souris aux drames La tête en arrière, Soledad Souris aux hommes, souris aux larmes La tête en arrière, Soledad Au pied du mur ta vie fera l'affaire Palais ou cimetière, crie juste pour voir Ecoutes le silence des frontières c'est du dollar qui désespère, parce qu'il n'entend pas

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La chanson évoque la complexité de la vie, entre l'amour et la souffrance, tout en se confrontant à la réalité d'un monde souvent impitoyable. Elle parle de la lutte de l'âme face aux adversités, exprimant un désir de liberté face aux contraintes de la société. Les références à des images fortes, comme celles du désert et des regards inquisiteurs, soulignent le sentiment d'isolement et de désespoir, mais aussi une quête de vérité et de clarté au-delà de la superficialité. Le contexte semble refléter une période de changement et de désillusion, où l'individu se débat avec ses propres démons tout en essayant de trouver sa place dans un monde en guerre, que ce soit symboliquement ou littéralement. La chanson nous rappelle que malgré la douleur, il est essentiel de sourire et de continuer à avancer, même quand tout semble sombrer.