Saluez les ombres

Luke

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VRP, on parcourt les distances Entre l'insomnie et l'impatience Dans tes yeux qui se ferment Dis-moi, ce que l'on voit ? Attaché, caisse, contrat prévoyance Bonne hygiène et contre-performance On regarde nos montres Sans amour et sans joie   Saluez les ombres Saluez le feu Saluez les nombres Saluez le peu Saluez les ombres   Saluez le feu    Saluez les ombres Saluez le feu Saluez les nombres Saluez le peu Saluez les ombres   Saluez le feu    VRP, combattant sans méfiance, L'ordinaire en cours d'auto-défense On crie c'que l'on croit Mais l'on ne s'entend plus   Tous les jours on a peur d'avoir peur A l'ombre d'un antidépresseur On se lève, on se voit Comme si l'on n's'était jamais vu     Saluez les ombres Saluez le feu Saluez les nombres Saluez le peu Saluez les ombres   Saluez le feu    Saluez les ombres Saluez le feu Saluez les nombres Saluez le peu Saluez les ombres   Saluez le feu    Tous les jours on a peur d'avoir peur A l'ombre d'un antidépresseur On se lève, on se voit Comme si l'on n's'était jamais vu    Saluez les ombres Saluez le feu Saluez les nombres Saluez le peu Saluez les ombres   Saluez le feu   

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La chanson parle de la lutte quotidienne de ceux qui sont pris dans un cycle de travail et d'angoisse, où l'ordinaire semble devenir un combat. Elle évoque des sentiments d'insatisfaction et d'ennui, tout en cherchant à voir au-delà de l'apparence des choses. Dans ce contexte, les "ombres" et le "feu" peuvent symboliser les luttes intérieures et les passions qui jalonnent nos vies, mêlant le poids de la routine à un désir de transcendance. Le ton de la chanson résonne particulièrement avec notre époque, une période où beaucoup ressentent la pression d'un quotidien qui peut sembler monotone et pesant. Ce texte illustre bien cette dissonance entre l'apparence de la vie et les vérités cachées qui sommeillent sous la surface.