On est pas des machines
Luke
| N.C. | N.C. | N.C. | N.C. | | | | | | On porte nos objectifs comme des pendentifs On porte nos sacrifices comme des coups d'canifs Les combattants ne combattent même plus A force de coïts ininterrompus Partout sur les murs ils ont écrit nos love Le jour se lève sur nos visages fauves Rythme de guerre et joie d′adolescent Peinture d'ether sur nos corps indolents Elle me croise, elle me toise Comme le bruit croise le silence Au fond de moi je pense J'écris au cutter sur les murs de ma vie En lettre de feu sur tes nuits anonymes Qu′il n'y a rien de plus beau que ton souffle intime On est pas des machines ! J'écris au cutter sur les murs de ma vie En lettre de feu sur tes nuits anonymes Qu′il n'y a rien de plus beau que ton souffle intime On est pas des machines ! | | | | | Qui sont ces dieux protégés par l'ivresse Où sont les corps en forme de SOS Dans les rues tièdes, l′insolence nous réchauffe La nuit nous berce, l'éternité nous sauve Je veux la suivre, mais je n′la trouve plus Car dans la ville la nuit est décousue Sa chevelure aux couleurs de l'espoir Mais son cuir noir est trop noir pour la voir Elle me croise, elle me toise Comme le bruit croise le silence Au fond de moi je pense J'écris au cutter sur les murs de ma vie En lettre de feu sur tes nuits anonymes Qu′il n'y a rien de plus beau que ton souffle intime On est pas des machines ! J'écris au cutter sur les murs de ma vie En lettre de feu sur tes nuits anonymes Qu′il n'y a rien de plus beau que ton souffle intime On est pas des machines ! J′éteins, j'allume Toute ma vie se calcule Au fond c′est ridicule ! Au fond c'est ridicule ! | | | | | J'écris au cutter sur les murs de ma vie En lettre de feu sur tes nuits anonymes Qu′il n'y a rien de plus beau que ton souffle intime On est pas des machines !