Gisèle

Luidji

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Tu ne vis que pour les caméras     Les appareils photo             Tu ne vis que pour les miroirs, le regard des autres Et le Chanel Coco Te faire changer, oui, j'essaye    Mais chez toi tout est si fake   Tu ne jures que par les Carrera, les Ferrari jaunes Et le champagne à gogo Oh Gisèle, Gisèle, quelle misère Tu ne vis que dans le virtuel Pour nous tu n'as plus aucun mystère Les jupes aussi courtes que les nuits de ton père Tu incarnes tout ce que je déteste Tu les montres, mais tu ne veux pas donner tes fesses Encore un soir où tu vas ignorer tous ces mecs Jusqu'à cinq du mat', tu vas rentrer seule C'est cheum, ouais, c'est pas l'éclate, bref Encore un soir où tu te doigtes Tu ne vis que pour les caméras    Les appareils photo             Tu ne vis que pour les miroirs, le regard des autres Et le Chanel Coco Te faire changer, oui, j'essaye Mais chez toi tout est si fake   Tu ne jures que par les Carrera, les Ferrari jaunes Et le champagne à gogo Oh les Gisèle Ce n'est pas la peine qu'on les aborde Elles ont plus peur de la quarantaine que de la mort   Et ça, tous les hommes le savent Ton joli cul, c'est tout ce qu'ils veulent   Du coup, ils donnent ce qu'ils peuvent Parce qu'avec toi on s'sent si seul Avec toi j'me sens si seul Car, Tu ne vis que pour les caméras Les appareils photo             Tu ne vis que pour les miroirs, le regard des autres Et le Chanel Coco Te faire changer, oui, j'essaye Mais chez toi tout est si fake Tu ne jures que par les Carrera, les Ferrari jaunes Et le champagne à gogo

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empty heart empty heart Am7, Bm7, Em7
empty heart empty heart C, Am, Em, F
La chanson dépeint le portrait d'une femme obsédée par l'apparence et l'image qu'elle renvoie aux autres. Elle se perd dans un monde de superficialité, où sa valeur semble se mesurer à sa popularité et aux signes extérieurs de richesse, comme des voitures de luxe et des bouteilles de champagne. Malgré ses efforts pour plaire et se transformer, elle demeure prisonnière d'une réalité factice, où le regard des autres prend le pas sur son véritable soi. Le contexte évoque les tendances actuelles liées aux réseaux sociaux et à la culture de l'image, où le besoin d'approbation et l'angoisse de vieillir peuvent mener à une solitude grandissante, même au milieu de la fête. Cette réflexion sur les excès de notre société invite à questionner nos propres valeurs et les vraies connexions humaines.