Pololop (Les Iroquois à cheveux verts)

Ludwig Von 88

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Les iroquois à cheveux verts son entrés dans le cimetière À grand coups de rangos férrés, les croix, les fleurs ont volées LES MORTS SONT DES CONS ! JE CHIE SUR LEUR TOMBE ! Chrysanthèmes de merde merde merde Chrysanthèmes de merde merde merde Polop po polololop Polop po polololop polopopopopopopopopololololo Les iroquois a cheveux verts, ont pris l'autoroute vers la mer Faire un peu de vide sur ces plages, de fonctionnaires brûlant leur lard BRONZEZ BANDE DE CONS ! JE CHIE SUR LE SOLEIL ! Vacanciers de merde merde merde Vacanciers de merde merde merde Polop po polololop Polop po polololop polopopopopopopopopololololo Les iroquois a cheveux verts se sont foutu la gueule en l'air En crevant de haine pour ce monde qui te réduit si vite en ombre JE VIS J'SUIS UN CON ! JE CHIE SUR MON NOM ! Existence de merde merde merde Existence de merde merde merde

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C, F, G
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empty heart empty heart A, D, E
La chanson évoque un groupe excentrique qui entre dans un cimetière avec une énergie provocatrice, exprimant un mépris pour les morts et les conventions. Ils semblent rejeter l'idée de la mémoire et de la nostalgie en laissant éclater leur colère contre un monde qu'ils jugent vide et hypocrite. Dans une sorte de révolte, ils prennent la route vers la mer, aspirant à échapper à la banalité de la vie quotidienne et à la société qu'ils désignent comme conformiste. Le ton est sarcastique et résigné, avec une volonté affichée de faire exploser les normes établies, tout en révélant une profonde frustration envers la condition humaine et le sens de l'existence. C'est une manière de dénoncer la superficialité des vacanciers ainsi que le poids d'une société qui semble broyer les individus.