Que sera ma vie ?

Ludovick Bourgeois

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(Musique à 4 temps)   Y'a le cadran qui sonne Collé contre personne encore Trop de nuits sans toi   Les heures qui pèsent une tonne Est-ce que tu me pardonneras? Est-ce que tu m'reprendras? À mon réveil, Plus rien n'est pareil (Ah, ah, ah, ah-ah, ah-, ah, ah, ah, ah-ah) Y'a plus d'soleil   Ôte-moi la nuit ! Ôte-moi la douleur ! Ouvre-moi les bras-as-as-as-as-as! Que sera ma vie Sans âme et sans couleurs Si tu n'es plus là-à-à-à-à-à ? (Ah, ah, ah, ah-ah, ah-, ah, ah, ah, ah-ah)   Y'a ta voix qui résonne Des échos de nous qui reviennent Des souvenirs qui trainent (ah, ah, ah, ah) C'est le dernier des hommes Le plus con de l'espèce humaine Qui te dit: "Je t'aime" (ah, ah, ah, ah) Mon coeur a mal Et tout m'est égal (Ah, ah, ah, ah-ah, ah-, ah, ah, ah, ah-ah) Sans ton étoile   Ôte-moi la nuit ! Ôte-moi la douleur ! Ouvre-moi les bras-as-as-as-as-as! Que sera ma vie Sans ami, sans couleurs Si tu n'es plus là-à-à-à-à-à ? Que sera ma vie Sans âme et sans couleurs Si tu n'es plus là ? Que sera ma vie ? (oh, oh)   Ôte-moi la nuit ! (oh, oh)   Que sera ma vie ? Ôte-moi la nuit ! Ôte-moi la douleur ! Ouvre-moi les bras-as-as-as-as-as! Que sera ma vie Sans âme et sans couleurs Si tu n'es plus là-à-à-à-à-à ? Que sera ma vie-ie-ie-ie-ie Si tu n'es plus là ?

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empty heart empty heart

Sur ton épaule

B, G#m, F#, E
La chanson évoque une profonde mélancolie et une quête désespérée de réconfort après une séparation. Le protagoniste se retrouve seul, rongé par des souvenirs et un sentiment d'absence qui pèse lourdement sur son cœur. Il se demande si l'autre personne pourra un jour lui pardonner et revenir, tout en exprimant la douleur d'une vie sans couleur ni âme sans cette présence aimée. Le contexte semble être celui d'une rupture, où le protagoniste est dévasté par la perte d'un être cher, cherchant à comprendre ce que sa vie deviendra sans cette personne essentielle. Les questions de pardon et de réconciliation se posent, faisant ressortir une vulnérabilité palpable. C'est un appel à l'espoir, mais aussi un cri de détresse face à une solitude insupportable.