Ce soir on danse à Naziland

Luc Plamondon

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Intro : Le soleil brille à Naziland Sur les buildings de cent étages I've got the whole world in my hand Au cent vingt-et-unième étage Ce soir on danse Ce soir on danse On danse à Naziland On vit déjà cent pieds sous terre C'est le retour aux catacombes Entre les murs des grandes artères L'homme ne voit plus jamais son ombre La ville a étendu ses ailes Sur toute la grandeur du pays Les néons flashent dans le ciel Et le jour ressemble à la nuit Ce soir on danse Ce soir on danse On danse à Naziland Ce soir on danse Ce soir on danse Ce soir on danse Le soleil brille à Naziland Sur les buildings de cent étages I've got the whole world in my hand Au cent vingt-et-unième étage Autour de nous il tombe des bombes Plus besoin de creuser nos tombes On est tous des morts en vacances Mais on s'en fout ce soir on danse Ce soir on danse Ce soir on danse On danse à Naziland

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C, Cmaj7, Am, Am7, Dm, Dm7, G7, E7, D, G, D4, F

La monture

Gm, Cm, F7, Bbmaj7, Ebmaj7, A7, D

Belle

Dm, Gm, A, Bm, Em, F#, D, C, Fm, Bbm, F, Eb, Abm, C#m, Ab

Les sans-papiers

Cm, Fm, G7, Em, Em/D, Em/C, Em/B, G#m, G#m/F#, E, Bbm, C, G#m/E, G#m/D#, Cm/Bb, Cm/Ab, Am, Am/G, Am/F, Am/E, E4, Ebm, F#m, Cm/G, G4, C4, C5

Besoin d'amour

E7, A, C, E

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Dm, A7, F, C, Dm/C, Bb, D, G, B7, Em, Gm, E, A, C#7, F#m, Am, F#, B, Eb7, G#m, Bm, G#, C#, F7, Bbm, C#m

Quand on arrive en ville

Em, C, Am, B4, B, F#7, Em7, Em6, B7

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G9, G, Gm, Dm, Gm6/A, A7, C, F, F7/Eb, D, G7, D7, Em/B, Am, E, E7, A7/4, D7/4, G7/4, C2, Fmaj7, D9, E7/4, A9, Gm/F, Ebmaj7, E4, G4

Dieu que le monde est injuste

Bb2, Bb, F, Gm/Bb, Gm7/Bb, Eb9, Eb, C7, F7, Db, Ab, Bbm/Db, Bbm7/Db, Gb9, Gb, Bbm, Bbm7, Ab7

Le blues du businessman

Em, A, D, G, C, B4, B, E, Am7, F, A9, Dmaj7, F#7, Gmaj7

Cette chanson évoque une vie trépidante dans une métropole éclairée par des néons, symbolisant la modernité et le mouvement. Malgré l'obscurité qui règne en dessous de la surface, où les gens semblent se perdre dans la routine et les préoccupations, il y a un appel à la joie et à la danse, comme si la musique et les célébrations permettaient d’échapper à la dureté du quotidien. L'image des "cent étages" représente l'urbanisation intense et les aspirations de chacun, tandis que le désir de vivre intensément, même dans l'adversité, est au cœur de ce moment festif. On ressent une sorte de désillusion mêlée à une volonté de profiter du moment présent, peu importe les ombres qui pèsent sur la vie.

Le Chansonnier