Avenue Foch

Luc De Larochellière

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Intro : T'as une robe comme les grandes dames en ont          Dans les séries à la télévision Maria     Ambassadeurs, grands armateurs c'est ton paysage Ça fait longtemps que tu traînes ton ombrage          Sur l'avenue Foch                                            T'as des yeux verts bien cernés de noir        Cernés tout court sous ton maquillage Maria     Ambassadeurs, grands armateurs sont et restent tes maîtres T'es sur la rue tout comme un parcomètre          De l'avenue Foch                                            Une poule de luxe t'aimes pas c'nom là T'aimes pas non plus les hommes qui font les coqs Mais ça te paye des voyages Maria     Ambassadeurs, grands armateurs t'offrent la poudre blanche Sourire en coin, en te serrant les hanches          Sur l'avenue Foch                                                                                 T'as mal aux pieds sur tes talons hauts         T'as comme le coeur pris dans un étau Maria     Ambassadeurs, grands armateurs le satin ou le coton T'es jamais longtemps dans la même maison    De l'avenue Foch répéter pour finir                   

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La chanson évoque le parcours d'une femme, Maria, qui évolue dans un monde de luxe et de superficialité, où elle côtoie des figures influentes comme des ambassadeurs et des armateurs. Bien qu’elle arbore une allure raffinée et attire l’attention, on perçoit une certaine mélancolie et un sentiment d'étau qui l'accompagne, marqués par le poids de ses talons hauts et des sacrifices qu'elle doit faire pour maintenir son statut. L’avenue Foch, dans ce contexte, devient un symbole de ce monde brillant mais difficile, où les plaisirs immédiats côtoient des engagements éphémères. Maria navigue entre l'attrait de cette vie glamorous et les douleurs qu'elle engendre, illustrant ainsi une dualité entre l’apparence et la réalité de son existence.