Si l'on marchait jusqu'à demain
Louise Attaque
| || || | | | | | Avalé par tes yeux immenses En parler comme si c'était les miens Nager dans tes yeux, leurs élégances Voilà que moi, je baisse les miens Longer tes jambes, immenses Tout ça, mais comme alors si de rien Et ta démarche, quelle élégance Si l'on marchait jusqu'à demain On serait peut-être au bout de la France Marseille, hmmm ? En fait, j'en sais rien Ça parait possible en apparence Possible, si tu veux bien | || || | | | | | | || || | | | | | Février en Chine, quelle joie quelle chance On a marché, regarde bien plus loin Que nous le laissaient penser les apparences Est-ce que l'on reste, est-ce que l'on revient ? Bien sûr que l'on reste, c'est une évidence Au bout du monde... Au bout du compte on reste un bout de la France Au bout du monde, ici, on se sent bien Longer tes jambes, immenses Tout ça, mais alors, toujours comme si de rien Et ta démarche, quelle élégance Si l'on marchait encore plus loin... Nous sommes au Mali, quelle fête, quelle chance Demain serait une chose que l'on obtient A chercher plus loin que toutes les apparences Est-ce que l'on reste, est-ce que l'on y tient ? | || || | | | | | | || || | | | | | | | | | | N.C. Avalé par tes yeux immenses Avalé par tes yeux immenses En parler comme si c'était les miens Noyé dans ces yeux, leurs élégances Si l'on regardait un peu plus loin Oui mon chapeau, c'est une évidence N'a rien à voir avec le tien Mais notre amour, notre exigence... | || || | | | | | | || || | | | | | | | | | | (x2)