De soi-même

Louise Attaque

Transposer:

| | | | | (x2) (Je, je) Je ne m'évadais plus Le goût des autres, je l'avais perdu (Je, je) Je ne rêvais plus Alors au bout du monde, je me suis rendu | | | | |   Mais quel imprévu Aux antipodes, toi aussi, tu étais venue On a beau s'enfuir (On a beau s'enfuir) Vouloir les distances, toujours les agrandir     On a beau partir (On a beau partir) En fait, de soi même, on ne peut se désunir   Sur le chemin pas un être humain ne nous a prévenu   Qu'au bout du monde nous serions ensemble à nouveau détenus On a beau s'enfuir (On a beau s'enfuir) Vouloir les distances, toujours les agrandir     On a beau partir (On a beau partir) En fait, de soi même, on ne peut se désunir | | | | | (x2)   On a beau s'enfuir Vouloir les distances, toujours les agrandir   On a beau partir En fait, de soi même, on ne peut se désunir | | | | | (x2)   On a beau s'enfuir        On a beau partir En fait, de soi même, on ne peut se désunir | | | | | (x2)

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Cette chanson évoque la lutte intérieure de quelqu'un qui, face à la monotonie de sa vie, se sent de plus en plus déconnecté des autres et de lui-même. Il décide de s'éloigner, pensant qu'un voyage au bout du monde lui permettra de retrouver des rêves perdus. Pourtant, il se rend vite compte que même à des milliers de kilomètres, les liens qui l'unissent aux autres le suivent inévitablement, et il n'échappe pas à lui-même. Le message sous-jacent souligne l'idée que, peu importe les distances que l'on prend ou les fuites que l'on tente d'organiser, on ne peut jamais vraiment se défaire de notre identité profonde ni des relations qui nous définissent. La chanson parle donc de l'impossibilité de fuir notre essence, ainsi que de l'importance des connexions humaines, même dans les moments de solitude.