Transistor

Louis-Jean Cormier

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Intro :(5540300) (XX0010)        (x2) ( (330010)) On court vers le vide     Se remplir le cœur Des jours stupides   Des bulldozers dans le journal    On court vers le vide     Se remplir le corps Des pluies acides     Des transistors qui nous avalent   On se fait mal c'est à croire qu'on se sent bien À bout de souffle Un pied sur le bord du gouffre Et l'autre qui devine ce qui s'en vient Instrumental : 0-10-X-12 (4temps) 10-9-X-11 (4temps) 5-3-X-5   (3temps) 3-2-X-4   (1temps) 5-3-X-5   (3temps) 3-2-X-4   (1temps) 5-3-X-5   (4temps) 3-2-X-4   (2temps) 1-0-0-2   (2temps) (Total 24 temps (6mesures 4/4)) (x2) 0-10-X-12 (4temps) 10-9-X-11 (4temps) 8-7-X-9   (3temps) 7-5-X-7   (1temps) 8-7-X-9   (3temps) 7-5-X-7   (1temps) 8-7-X-9   (3temps) 7-5-X-7   (1temps) 8-7-X-9   (4temps) (Total 24 temps (6mesures 4/4)) Grand total 72 temps (18 mesure 4/4) On court vers le vide     Se remplir les poches D'argent liquide      Et d'idées croches qui mènent le bal        On se fait mal c'est à croire qu'on se sent bien À bout de souffle Un pied sur le bord du gouffre Et l'autre qui devine ce qui s'en vient

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empty heart empty heart A, Bm, G, Em, G6, C, F, Am, Bb, Gm, Dm
empty heart empty heart G5, Bb6, D/F#, F#, Bm, Bm/A, G6, A, A4, Fmaj7, C, F, Em, Em/G, Gmaj7
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empty heart empty heart C/G, Gm7, F/C, Dm, G, F, Em, B, Am7, Dm7, E, G7, D7, A7
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empty heart empty heart Bb6/F, F, C/E, Dm, G7, C, Bm6/F, A7, E7, Fmaj7, Bb, A
empty heart empty heart Bm, D, G, Em, Em6, A, Em7
empty heart empty heart Dm, Bb, F, E, G, C, Dm7
empty heart empty heart C, F, Am, Em, G, C/G, Ab6
empty heart empty heart C, B7/C, G, Em, Cm, C6, A7, D, Am, Am/G
Cette chanson évoque notre course effrénée vers le vide, illustrant une quête de satisfaction qui semble finalement absente. Elle décrit des journées sans véritable sens, où l'on s'emplie le cœur de banalités et le corps de tensions, face à des réalités dures et inquiétantes, comme les bulldozers des nouvelles ou les pluies acides. Le texte met en lumière notre rapport à l'argent, aux idées souvent déviantes qui nous entraînent dans un tourbillon, tout en nous laissant sur le fil du gouffre. Ce paradoxe de se blesser tout en cherchant à se sentir vivant montre une lutte interne face à des choix qui nous éloignent de l'essentiel. C'est un constat poignant sur notre époque, où l'on se perd parfois dans des valeurs superficielles.