Ces idées-là

Louis Bertignac

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Intro : | | (x2) Bébé, faudrait rentrer, tu vois ! Je suis en mal d'être avec toi La machine à café est détraquée Les cendriers tous renversés Des heures et des heures passées Devant la mire de ma télé Des nuits sans dormir à me demander Où tu peux bien aller   (Ouh, ouh, ouh, ouh) Faut pas m'laisser (Ouh, ouh, ouh, ouh)     Traîner là Seul avec ces (Ouh, ouh, ouh, ouh) Idées-là ! J'suis pas si fort (Ouh, ouh, ouh, ouh)          Que tu crois Non, non, non, pas si fort que | | (x2) Ca Bébé, un doute en moi s'est figé     Tu n'vas plus rentrer Je peux faire une croix sur toi    Comment ne pas m'imaginer Ta petite gueule entre ses bras ? Comment ne pas crier ? Comment ne pas pleurer Oh, je suis fatigué        oh, non, (Ouh, ouh, ouh, ouh) Non Faut pas m'laisser (Ouh, ouh, ouh, ouh)   Traîner là Seul avec ces (Ouh, ouh, ouh, ouh) Idées-là ! J'suis pas si fort (Ouh, ouh, ouh, ouh)          Que tu crois Non, non, non, pas si fort que | | (x2) Ca (Ouh, ouh, ouh, ouh) (Ouh, ouh, ouh, ouh) (Ouh, ouh, ouh, ouh) | | | (Ad libitum)

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La chanson évoque une profonde mélancolie et un sentiment d'abandon face à une rupture amoureuse. Le narrateur se retrouve seul, perdu dans ses pensées, se demandant où l'autre pourrait être. Il décrit l'impact dévastateur de cette séparation, entre des doutes persistants et l'angoisse de l'absence. En attendant un retour qui semble improbable, il lutte contre des pensées qui le hantent, révélant une vulnérabilité qu'il peine à accepter. Le climat de la chanson est empreint de solitude, accentué par des images de quotidien désenchanté, où chaque geste banal devient lourd de sens. C'est un moment où l’on se sent piégé par ses propres idées, incapable de se libérer de cette tristesse.