Lorenzo

Lorenzo

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

      (Ouais) Y a que d'la merde dans l'actu tout est nul ou déjà vu Des rappeurs avec des mêmes textes des mannequins avec les mêmes culs Ces enculés critiquent mon style mais ils copient mon marketing Tout l'monde peut devenir platine ça veut plus rien dire le streaming Pas d'artistes juste des businessmans plus de journalistes que de la promo Plus de création juste de la pub des sponsors sur des vidéos C'est juste des putes 2.0 qui feraient tout pour de l'oseille Dirigés par des jeunes bobos payés pour envoyer des mails En France que des mauvais acteurs qui font des comédies ratées Mal vieillir comme un Youtubeur ou faire carrière à la télé Au final j'étais plus heureux avant quand y avait pas un eu' À vivre à 6 dans un T2 Columbine jusqu'à l'infini Du mal à dire qu'tout est fini qu'rien ne sera jamais comme avant T'façon j'déteste cette industrie L'impression qu'personne me comprend Plus trop présent sur les photos Mais j'ai toujours les mêmes potos J'ai réalisé tous mes rêves Maintenant faut qu'j'en trouve des nouveaux Ça lâche des grosses déflagrations Jusqu'à la mort ça fume à fond Ma fin d'carrière j'la vois comme la fin d'la liberté d'expression J'ai pas oublié qui j'étais Les shrabs les vrais vont nous manquer Rico est là il fait tourner J'fume dessus comme si c'était le dernier

Du même artiste :

empty heart empty heart F#, Bb, Ebm, B
empty heart empty heart Am, Dm, F, E
La chanson aborde une critique aiguisée de l'industrie musicale actuelle, où le manque d'originalité et la recherche du profit prennent le pas sur la créativité. L'artiste déplore que de nombreux rappeurs semblent se contenter de copier les tendances au lieu d'apporter quelque chose de nouveau. Il évoque également la superficialité des médias, où la promotion prime sur la véritable information, et il exprime sa nostalgie pour une époque où la vie semblait plus authentique. Dans ce contexte, il fait un constat amer sur sa carrière et sur le monde qui l'entoure, ressentant une certaine solitude face à cette évolution. Malgré ses succès, il se questionne sur son avenir et la direction que prend sa vie artistique, se remémorant ses débuts plus simples et compacts. Il termine en soulignant l'importance de ses amis, tout en gardant une certaine désillusion sur le monde de la musique.