Texture qui se mange

Les Vulgaires machins

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Mes pâtes sont trop cuites Mes oeufs goûtent la truite Il y a tellement de sel Que mes reins abdiquent Et d'un bout à l'autre De la Belle Province C'est le boulevard Taschereau Qui nous sert d'exemple Ça me dégoûte dans mon organisme C'est juste une texture qui se mange Tant qu'il y a des grosses portions on est content Du sirop de poteau amènes-en La vie est trop courte La vie est trop belle Mais comment vous faites Pour rater l'essence Tu t'approches de moi Et ça y est je tremble C'était prévu tu me donnes Des déchets qui se mangent Et qui goûtent pour le moins étranges C'est juste une texture qui se mange Est-ce que c'est notre table qui hallucine ou il y a d'autres clients Qui ont un pouce d'eau dans leur spag'... '...Hetti Juste une texture qui se mange Vomi Juste une texture qui se mange Je t'en prie Un cuisinier ça se change Tu me dis « Oui mais au moins on mange'... »

Du même artiste :

empty heart empty heart Am, F5, G5, C5, E5, A5
empty heart empty heart Dm, Bb, F, C, A, G
empty heart empty heart A, E, F#m, D
empty heart empty heart Em, C, G, D, Bm, B
empty heart empty heart G, F, C, Em, Am, D
empty heart empty heart D, G, Bb, C, Bm, F#m, E, A
Cette chanson parle de l'expérience culinaire décevante, évoquant des plats mal préparés et des saveurs peu appétissantes. L’artiste décrit des aliments trop cuits et trop salés, soulignant un certain dégoût face à ces textures étranges qui, malgré tout, se mangent. Il y a une critique implicite sur la qualité de la cuisine, que ce soit à la maison ou dans les établissements. Malgré l'insatisfaction, il y a une sorte d'acceptation que tant que la quantité est là, on fait avec. Le contexte semble tourner autour de la réalité de la gastronomie québécoise, où le manque de soin dans la préparation des aliments peut parfois mener à des situations cocasses. Le tout est teinté d'une légèreté qui reflète les travers de la vie quotidienne, à travers le prisme de la nourriture.