Pop Corn

Les Vulgaires machins

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

J'ai entre les dents un morceau ... ...C'est le chaos Pendant que dehors... ...s.v.p. pas de photos La guitare 1 reprend l'intro (i), la guitare 2 joue :  ?y est j'ai une oreille de bouchée... ...j'ai perdu la confiance il n'en revient qu'... [Refrain] (La guitare 1 reprend l'intro (i), la guitare 2 reprend le solo) Paroles : J'ai entre les dents un morceau de maïs soufflé de pogné Je ne sais plus trop quoi faire C'est le quatrième cure-dents que je détruis, la troisième fois que je vomis Je m'en vais droit en enfer Tous mes amis sont tournés vers moi, même les policiers sont là Périmètre de sécurité, c'est le chaos Pendant que dehors Se questionnant sur l'intérieur M'acclament mes admirateurs S.v.p. pas de photos Ça y est, j'ai une oreille de bouchée, à force de trop me moucher En espérant que ça sorte par le nez Je pleure, je prie, je crie, je supplie Quelqu'un de retirer l'indésirable de mon mâche-pain Assez souffert je prévois la fin, je dois trouver un moyen mais j'ai perdu la confiance Il n'en revient qu'à Dieu

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La chanson aborde le désespoir face à une petite mésaventure, où le narrateur se retrouve avec un morceau de maïs soufflé coincé entre les dents, symbolisant une gêne qui prend des proportions chaotiques. Il se sent acculé, détruisant des cure-dents et vomissant, peu à peu submergé par la situation. Ses amis, bien que présents, ne peuvent que le regarder tandis que le monde extérieur continue de tourner. Dans cette folie, il essaie désespérément de se libérer de ce qui le tourmente, se tournant finalement vers Dieu dans sa quête de réconfort et de solution. Cette chanson décrit une sorte de défi quotidien, agrémenté d'un humour noir et d'une image fidèle du tumultueux voyage de la vie, où les petites contrariétés peuvent rapidement éclipser tout le reste. Elle suggère que, même dans les moments les plus absurdes, il reste parfois la foi ou une forme de transcendance à laquelle se raccrocher.