Je me touche dans le parc

Les Trois accords

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Intro : / Quand je suis sorti de l'hôpital Je suis sorti en chantant La rue sentait les pétales   Nous avions l'avenir devant Il y avait un fumet De liberté dans nos nez Je me trouvais aux sommets   De la chaîne de gaieté     Et au moment le moins opportun Dans les gaz de la joie Tu vins me mettre au parfum   Tu t'en retournais là-bas Tous nos plans et nos dessins Qui s'envolaient en buée Je n'avais plus qu'un moyen   De revenir te chercher    Je me touche dans le parc Les gens font toutes sortes de remarques Pendant que les policiers débarquent Quand je me touche dans le parc Les gens font toutes sortes de remarques Avant que les policiers débarquent Quand je verrai enfin l'ambulance Se stationner dans la rue Je poursuivrai mes avances   Sur mon propre individu Et dans la cave Je penserai à toi si fort J'aurai le sourire en l'air   Je saurai alors que Je m'en retourne à l'institut avec Alexandre   Je reste ici jusqu'à ce que l'on vienne me prendre   Je me touche dans le parc Les gens font toutes sortes de remarques Pendant que les policiers débarquent Quand je me touche dans le parc Les gens font toutes sortes de remarques Avant que les policiers débarquent (Instrumental) Modulation en : Je me touche dans le parc Les gens font toutes sortes de remarques Pendant que les policiers débarquent Quand je me touche dans le parc Les gens font toutes sortes de remarques Avant que les policiers débarquent Quand je me touche dans le parc Dans le parc         

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La chanson évoque une expérience personnelle et décalée, où le protagoniste, sorti d’un hôpital, se sent libre et plein de joie, jusqu'à ce qu'une rencontre inattendue vienne troubler son bonheur. Sur fond de légèreté, il se retrouve confronté à des jugements des passants alors qu’il se livre à des gestes intimes dans un parc, ce qui attire l’attention des policiers. On ressent une tension entre la quête de liberté et les normes sociales, amplifiée par des allusions à des souvenirs nostalgiques et un retour à un lieu de soins. Le texte mélange humour et réflexions sur la vulnérabilité humaine.