Elle est partie danser le tamouré

Les Kaveka

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Intro : Elle est partie tout en claquant la porte Elle est partie danser le tamouré. Eh ! Courir après, ce n'est pas mon métier C'est bon pour les chiens du quartier J'espère, un jour, apprendre qu'elle est morte Qu'un grand camion l'a réduite en bouillie Mon émotion ne serait pas trop forte Elle est partie danser le tamouré Elle est partie tout en claquant la porte Elle est partie danser le tamouré. Eh ! Courir après, ce n'est pas mon métier C'est bon pour les chiens du quartier J'espère, un jour, apprendre qu'elle est morte Qu'un grand camion l'a réduite en bouillie Mon émotion ne serait pas trop forte Elle est partie danser le tamouré (Modulation en :) (Instrumental) :                  J'espère, un jour, apprendre qu'elle est morte Qu'un grand camion l'a réduite en bouillie Mon émotion ne serait pas trop forte Elle est partie danser le tamouré Elle est partie tout en claquant la porte Elle est partie danser le tamouré. Eh ! Courir après, ce n'est pas mon métier C'est bon pour les chiens du quartier J'espère, un jour, apprendre qu'elle est morte Qu'un grand camion l'a réduite en bouillie Mon émotion ne serait pas trop forte Elle est partie danser le tamouré Elle est partie, tant pis, tant pis, tant pis, (Ad libitum)

La chanson évoque le départ d'une femme, qui semble partir sans se retourner, laissant derrière elle un homme qui, bien qu'affecté, refuse de se laisser abattre. Il exprime des sentiments contradictoires, oscillant entre indifférence et un souhait grotesquement exagéré concernant sa mort. L'idée de courir après elle n'est pas envisageable pour lui, car cela lui semblerait dégradant, comme un acte réservé à des animaux du quartier. Dans un contexte plus large, on peut ressentir un écho des relations tumultueuses où la douleur de l'abandon se mêle à une sorte de résilience. Ce morceau capture à la fois le ras-le-bol et l'ironie d'une séparation.